Que ce j'écris ici puisse être un jour utile a d'autres, que cela arrête le juge prêt a juger, que cela sauve des malheureux innocents ou coupables, de l'agonie a laquelle je suis condamné.
L'amour, c'est l'absolu, c'est l'infini ; la vie, c'est le relatif et le limité. De là tous les secrets et profonds déchirements de l'homme quand l'amour s'introduit dans la vie. Elle n'est pas assez grande pour le contenir.
La nature vient au secours de tous les abandons ; là où tout manque, elle se redonne tout entière ; elle refleurit et reverdit sur tous les écroulements ; elle a le lierre pour les pierres et l'amour pour les hommes.
Non, folie! Plus d'espérance! Le pourvoi, c'est une corde qui vous tient suspendu au-dessus de l'abîme, et qu'on entend craquer à chaque instant, jusqu'à ce qu'elle se casse. C'est comme si le couteau de la guillotine mettait six semaines à tomber.
La misère ne s'empreint pas seulement sur les vêtements ; elle s'empreint sur la beauté. Cela se mêle au point qu'on pourrait dire que le vêtement devient maigre et le visage pauvre.
Aucun idiome n'est plus métaphorique que l'argot. - Dévisser le coco, tordre le cou; - tortiller, manger; -être gerbé, être jugé; - un rat, un voleur de pain; - il lansquine, il pleut; [...] le diable devient le boulanger, celui qui enfourne.