Tous les hommes, même ceux qui apparemment les plus inacessibles à la pitié, on toujours un fonds de bonté : si on arrive à toucher leur cœur, il est possible de les faire changer.
C'est toujours l'oppresseur, non l'opprimé qui détermine la forme de lutte. Si l'oppresseur utilise la violence, l'opprimé n'aura pas d'autre choix que de répondre par la violence. Dans notre cas, ce n'était qu'une forme de légitime défense
Nous devons être les gardiens de cette planète. Nous devons prendre des mesures pour améliorer l'environnement et laisser un monde meilleur à nos enfants.
C'est en revenant à un endroit où rien n'a bougé qu'on réalise le mieux à quel point on a changé.
La prison et les autorités conspirent pour dépouiller chacun de se dignité. Cela en soi m'a permis de survivre...Je suis fondamentalement optimiste...se laisser aller au désespoir mène à la défaite et à lamort.