La dignité d'un homme ne se mesure pas aux personnes qui sont autour de lui quand il est au sommet de la réussite, mais à sa capacité de ne pas oublier les mains qui se sont tendues quand il en avait le plus besoin.
C'est toujours l'oppresseur, non l'opprimé qui détermine la forme de lutte. Si l'oppresseur utilise la violence, l'opprimé n'aura pas d'autre choix que de répondre par la violence. Dans notre cas, ce n'était qu'une forme de légitime défense