Citations Antoine de Saint-Exupéry - page 3

Retrouvez des dizaines de citations de Antoine de Saint-Exupéry avec des images à copier et à partager.

Il faut beaucoup aimer pour être heureux, car le bonheur est une rose dont chaque pétale est une illusion et chaque épine une réalité.
L'hypocrisie n'est souvent qu'une pudeur qui ne sait même pas se définir.
Préparer l'avenir ce n'est que fonder le présent. [...] Il n'est jamais que du présent à mettre en ordre. À quoi bon discuter cet héritage. L'avenir, tu n'as point à le prévoir mais à le permettre.
On ne voit bien qu'avec le cœur, l'essentiel est invisible pour les yeux.
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L'arbre, c'est la puissance qui lentement épouse le ciel.
Quand nous prendrons conscience de notre rôle, même le plus effacé, alors seulement nous serons heureux. Alors seulement nous pourrons vivre en paix, car ce qui donne un sens à la vie donne un sens à la mort.
La seule chose qui compte, c'est ce que l'on fait avec ce que l'on a.
Tu te jugeras donc toi-même, lui répondit le roi. C’est le plus difficile. Il est bien plus difficile de se juger soi-même que de juger autrui.
Quand le mystère est trop impressionnant, on n'ose pas désobéir.
Seul compte ce qui est éternellement présent dans nos cœurs.
La victoire seule noue. La défaite non seulement divise l'homme d'avec les hommes, mais elle le divise avec lui-même.
Il étalait sa misère. Un eczéma moral. Il montrait sa prison.
Faites que le rêve dévore votre vie afin que la vie ne dévore pas votre rêve.
Car nous ne nous entendons pas sur la réalité. Et moi je dénomme réalité non ce qui est mesurable dans une balance (de laquelle je me moque car je ne suis point une balance et peu m'importe les réalités pour balance). Mais ce qui pèse sur moi. Et pèse sur moi ce visage triste ou cette cantate ou cette ferveur dans l'empire ou cette pitié pour les hommes ou cette qualité de la démarche ou ce goût de vivre ou cette injure ou ce regret ou cette séparation ou cette communion dans la vendange [...]
Dans un monde où la vie rejoint si bien la vie, où les fleurs dans le lit même du vent se mêlent aux fleurs, où le cygne connaît tous les cygnes, les hommes seuls bâtissent leur solitude.
Tu n'avais eu longtemps pour distraction que la douceur des couchers de soleil.
On ne connaît que les choses qu’on apprivoise.
Mais j'ai aussi compris, ce qui m'avait toujours étonné : pourquoi Platon (ou Aristote ?) place le courage au dernier rang des vertus. Ce n'est pas fait de bien beaux sentiments : un peu de rage, un peu de vanité, beaucoup d'entêtement et un plaisir sportif vulgaire.
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La terre nous en apprend plus long sur nous que tous les livres. Parce qu'elle nous résiste. L'homme se découvre quand il se mesure avec l'obstacle.