Le regard est la grande arme de la coquetterie vertueuse. On peut tout dire avec un regard, et cependant on peut toujours nier un regard.
— Voilà , se disait-il, comme sont ces gens riches, ils humilient et croient ensuite pouvoir tout réparer, par quelques singeries ! Voir l'image
Pourquoi parler ? Pourquoi se mettre en communication avec cet éteignoir de tout enthousiasme et de toute sensibilité : les autres ? Voir l'image
La bonne musique ne se trompe pas, et va droit au fond de l'âme chercher le chagrin qui nous dévore. Voir l'image
Les connaissances nous suivent tout le reste de notre vie, nous sont toujours utiles, et quelquefois, nous consolent de bien des peines. Voir l'image
Ma foi, si je trouve le dieu des chrétiens, je suis perdu, c'est un despote et, comme tel, il est rempli d'idées de vengeance, la bible ne parle que de punitions atroces. Je ne l'ai jamais aimé et je n'ai même jamais voulu croirequ'on l'aime sincèrement. Voir l'image
J'ai aimé la vérité...où est-elle ?...Partout hypocrisie, ou du moins charlatanisme, même chez les plus vertueux, même chez les plus grands ; et ses lèvres prirent l'expression du dégoût. Non l'homme ne peut se fier à l'homme. Voir l'image
Il faut renoncer à toute prudence. Ce siècle est fait pour tout confondre ! nous marchons vers le chaos.
L'admission de la femme à l'égalité parfaite serait la marque la plus sûre de la civilisation ; elle doublerait les forces intellectuelles du genre humain et ses chances de bonheur. Voir l'image
Il n'y a point de droit naturel : ce mot n'est qu'une antique niaiserie bien digne de l'avocat général qui m'a donné chasse l'autre jour, et dont l'aïeul fut enrichi par une confiscation de Louis XIV. Il n'y a de droit que lorsqu'il y a une loi pour défendre de faire telle chose sous peine de punition. Avant la loi il n'y a de naturel que la force du lion, ou le besoin de l'être qui a faim, qui a froid, le besoin en un mot... Voir l'image
Un roman est un miroir qui se promène sur une grande route. Tantôt il reflète à vos yeux l'azur des cieux, tantôt la fange des bourbiers de la route. Et l'homme qui porte le miroir dans sa hotte sera par vous accusé‚ d'être immoral ! Son miroir montre la fange, et vous accusez le miroir ! Accusez bien plutôt le grand chemin où est le bourbier, et plus encore l'inspecteur des routes qui laisse l'eau croupir et le bourbier se former. Voir l'image
Un roman est un miroir qui se promène sur une grande route. Tantôt il reflète à vos yeux l'azur des cieux, tantôt la fange des bourbiers de la route. Et l'homme qui porte le miroir dans sa hotte sera par vous accusé‚ d'être immoral ! Son miroir montre la fange, et vous accusez le miroir ! Accusez bien plutôt le grand chemin où est le bourbier, et plus encore l'inspecteur des routes qui laisse l'eau croupir et le bourbier se former. Voir l'image
Les peuples n'ont jamais que le degré de liberté que leur audace conquiert sur la peur. Voir l'image
La bonne musique ne se trompe pas, et va droit au fond de l'âme chercher le chagrin qui nous dévore. Voir l'image
L'amour est comme la fièvre, il naît et s'éteint sans que la volonté y ait la moindre part. Voir l'image
L'admission des femmes à l'égalité parfaite serait la marque la plus sûre de la civilisation, et elle doublerait les forces intellectuelles du genre humain. Voir l'image
L'admission de la femme à l'égalité parfaite serait la marque la plus sûre de la civilisation ; elle doublerait les forces intellectuelles du genre humain et ses chances de bonheur.
Un chemin est-il moins beau parce qu'il y a des épines dans les haies qui le bordent ? Les voyageurs font route et laissent les épines se morfondre à leur place. Voir l'image