Le "déterministe" nous jure que si l'on savait tout, l'on saurait aussi déduire et prédire la conduite de chacun en toute circonstance, ce qui est assez évident. Le malheur veut que "tout savoir" n'ait aucun sens.
Nos contradictions sont les témoignages et les effets de l'activité de notre pensée.
La faiblesse de la force est de ne croire qu’à la force.
La lecture des histoires et romans sert à tuer le temps de deuxième ou troisième qualité. Le temps de première qualité n'a pas besoin qu'on le tue. C'est lui qui tue tous les livres. Il en engendre quelques-uns.