Les femmes sont mélange de désir d'une certaine brutalité et de l'exigence d'immenses égards. Elles adorent la force, mais une force qui parfois s'incline, et un tigre qui tantôt dévore et tantôt se fait descente de lit.
Le "déterministe" nous jure que si l'on savait tout, l'on saurait aussi déduire et prédire la conduite de chacun en toute circonstance, ce qui est assez évident. Le malheur veut que "tout savoir" n'ait aucun sens.
La faiblesse de la force est de ne croire qu’à la force.
La lecture des histoires et romans sert à tuer le temps de deuxième ou troisième qualité. Le temps de première qualité n'a pas besoin qu'on le tue. C'est lui qui tue tous les livres. Il en engendre quelques-uns.