C'était la seconde, ...

C'était la seconde, l'éclair insaisissable où sur le chemin d'une vie elles se croisaient, et l'une allait monter, et l'autre s'enfoncer dans l'ombre. Mais elles ne le savaient pas. Cependant Antoinette répéta doucement : Ma pauvre maman.
 Irène Némirovsky

Citations liés

Le chemin de la vie est difficile et il y a des obstacles à surmonter, mais si tu sais où tu veux aller et tu gardes ton courage, tu peux tout surmonter.
Les deux épreuves les plus difficiles sur le chemin spirituel : la Patience d'attendre le bon moment et le Courage de n'être pas déçus par ce que vous trouvez.
Le chemin est plus important que la destination.
 Proverbe hindou
Le chemin de la vie est parsemé d'obstacles, mais si tu veux vraiment atteindre tes objectifs, tu dois vaincre chacun d'eux et faire ton chemin vers le sommet.
Il faut lutter pour ses rêves, mais il faut savoir également que quand certains chemins se révèlent impossibles, mieux vaut garder son énergie pour parcourir d'autres routes.

Citations du même auteur

Mais le mieux pour qu'il vienne (j'entends un véritable amour, honnête et sain) c'est de ne pas trop y penser, de ne pas l'appeler. Sans quoi on se trompe. On met le masque de l'amour sur le premier et le plus vulgaire visage.
 Irène Némirovsky
Les événements graves, heureux ou malheureux ne changent pas l'âme d'un homme mais ils la précisent, comme un coup de vent en balayant les feuilles mortes révèle la forme d'un arbre.
 Irène Némirovsky
Ls allaient, venaient d'un mur à un autre, silencieusement, comme les mouches d'automne, quand la chaleur, la lumière et l'été ont passé, volent péniblement, lasses et irritées, aux vitres, traînant leurs ailes mortes.
 Irène Némirovsky
-" On ne peut pas être malheureuse lorsqu'on a ceci : L'odeur de la mer, le sable sous les doigts...l'air, le vent..."
 Irène Némirovsky
C'était la seconde, l'éclair insaisissable où "sur le chemin d'une vie" elles se croisaient, et l'une allait monter, et l'autre s'enfoncer dans l'ombre. Mais elles ne le savaient pas. Cependant Antoinette répéta doucement : "Ma pauvre maman."
 Irène Némirovsky