Ls allaient, venaient d'un ...

Ls allaient, venaient d'un mur à un autre, silencieusement, comme les mouches d'automne, quand la chaleur, la lumière et l'été ont passé, volent péniblement, lasses et irritées, aux vitres, traînant leurs ailes mortes.
 Irène Némirovsky

Citations liés

Il y a des moments où la chaleur d'une amitié, une main tendue, un sourire sincère sont aussi nécessaires que l'oxygène que l'on respire.
 Anne Duguël
Ni la neige, ni la pluie, pas plus que la chaleur ou l'obscurité de la nuit, n'empêcheront ces messagers d'accomplir la ronde qui leur a été confié.
L'amour comme la pluie se nourrit par en haut,inondant les couples d'une joie diffuse.Mais parfois sous la chaleur coléreuse de la vie,l'amour sèche en surface et doit se nourir par en dessous,plongeant alors dans ses racines afin de rester vivant.
 Mitch Albom
La chaleur du soleil peut guérir presque toutes les blessures.
 Proverbe
Les feux de paille ne réchauffent guère; tandis que la braise continuelle d'un Amour sincère apporte une chaleur bienfaisante au cœur de l'homme pour en adoucir toutes les froideurs.
 Daniel Desbiens

Citations du même auteur

Mais le mieux pour qu'il vienne (j'entends un véritable amour, honnête et sain) c'est de ne pas trop y penser, de ne pas l'appeler. Sans quoi on se trompe. On met le masque de l'amour sur le premier et le plus vulgaire visage.
 Irène Némirovsky
Les événements graves, heureux ou malheureux ne changent pas l'âme d'un homme mais ils la précisent, comme un coup de vent en balayant les feuilles mortes révèle la forme d'un arbre.
 Irène Némirovsky
-" On ne peut pas être malheureuse lorsqu'on a ceci : L'odeur de la mer, le sable sous les doigts...l'air, le vent..."
 Irène Némirovsky
C'était la seconde, l'éclair insaisissable où "sur le chemin d'une vie" elles se croisaient, et l'une allait monter, et l'autre s'enfoncer dans l'ombre. Mais elles ne le savaient pas. Cependant Antoinette répéta doucement : "Ma pauvre maman."
 Irène Némirovsky
C'était la seconde, l'éclair insaisissable où "sur le chemin d'une vie" elles se croisaient, et l'une allait monter, et l'autre s'enfoncer dans l'ombre. Mais elles ne le savaient pas. Cependant Antoinette répéta doucement : "Ma pauvre maman."
 Irène Némirovsky