Mais le mieux pour qu'il ...

Mais le mieux pour qu'il vienne (j'entends un véritable amour, honnête et sain) c'est de ne pas trop y penser, de ne pas l'appeler. Sans quoi on se trompe. On met le masque de l'amour sur le premier et le plus vulgaire visage.
 Irène Némirovsky

Citations liés

Les gens s'attendent toujours à ce que les traîtres aient un visage de traître.
 Alfred Bester
Le temps est ce que nous sommes.Il est sur notre visage,dans nos silences,dans notre attente.Méritons le temps de la patience et des jours où rien n'arrive.
CRÉON : On est tout seul, Hémon. Le monde est nu. Et tu m'as admiré trop longtemps. Regarde-moi, c'est cela devenir un homme, voir le visage de son père en face, un jour.
 Jean Anouilh
De même que la valeur de la vie n'est pas en sa surface mais dans ses profondeurs, les choses vues ne sont pas dans leur écorce mais dans leur noyau, et les hommes ne sont pas dans leur visage mais dans leur cœur.
Visage d'ange mais c'est un diable. Princesse redoutable. Préfère le maniement du sabre à l'apprentissage du piano, les courses à cheval aux ragots. Déteste les jérémiades.
 Rébecca Dautremer

Citations du même auteur

Les événements graves, heureux ou malheureux ne changent pas l'âme d'un homme mais ils la précisent, comme un coup de vent en balayant les feuilles mortes révèle la forme d'un arbre.
 Irène Némirovsky
Ls allaient, venaient d'un mur à un autre, silencieusement, comme les mouches d'automne, quand la chaleur, la lumière et l'été ont passé, volent péniblement, lasses et irritées, aux vitres, traînant leurs ailes mortes.
 Irène Némirovsky
-" On ne peut pas être malheureuse lorsqu'on a ceci : L'odeur de la mer, le sable sous les doigts...l'air, le vent..."
 Irène Némirovsky
C'était la seconde, l'éclair insaisissable où "sur le chemin d'une vie" elles se croisaient, et l'une allait monter, et l'autre s'enfoncer dans l'ombre. Mais elles ne le savaient pas. Cependant Antoinette répéta doucement : "Ma pauvre maman."
 Irène Némirovsky
C'était la seconde, l'éclair insaisissable où "sur le chemin d'une vie" elles se croisaient, et l'une allait monter, et l'autre s'enfoncer dans l'ombre. Mais elles ne le savaient pas. Cependant Antoinette répéta doucement : "Ma pauvre maman."
 Irène Némirovsky