Paulus aurait pu dire ...

Paulus aurait pu dire n'importe quoi. Avec cette voix bizarre, il réussissait à entrer en moi sans passer par mon cerveau. C'était comme une vibration, peut-être quelque chose qui ressemblait au langage des baleines.
 Agnès Desarthe

Citations liés

Il n'existe pas de genre fou ou bizarre, il n'y a que le genre incompris.
 Anonyme
On verra plus d'une fois dans la suite les bizarres effets de cette disposition si misanthrope et si sombre en apparence, mais qui vient en effet d'un cœur trop affectueux, trop aimant, trop tendre, qui, faute d'en trouver d'existants qui lui ressemblent, est forcé de s'alimenter de fictions.
La maturité, telle que je la concevais, consistait à reconnaître ce qu'il pouvait y avoir de bizarre ou de douloureux dans l'existence, à admettre qu'on ne pouvait plus rien y faire, et à aller de l'avant en prenant le meilleur de la vie.
 Richard Ford
Je ne comprends pas pourquoi tu es si bizarre, dit Shelby à Luce, le lendemain matin. Ca fait six jours que tu es a Shoreline, et tu es déjà la star du lycée ! Tu vas probablement êre à la hauteur de ta réputation, en fin de compte...
 Lauren Kate

Citations du même auteur

La pente des yeux, la couleur de la peau, l'orientation des sourcils, l'implantation du nez, le dessin des lèvres. Parfois, un visage vous bouleverse. Le contempler vous blesse et vous console.
 Agnès Desarthe
La pente des yeux, la couleur de la peau, l'orientation des sourcils, l'implantation du nez, le dessin des lèvres. Parfois, un visage vous bouleverse. Le contempler vous blesse et vous console.
 Agnès Desarthe
Oh, on va pas se disputer pour ça. Moi, je suis moche, et toi, t'es con. Tout va très bien. C'est équilibré. C'est normal.
 Agnès Desarthe
Paulus aurait pu dire n'importe quoi. Avec cette voix bizarre, il réussissait à entrer en moi sans passer par mon cerveau. C'était comme une vibration, peut-être quelque chose qui ressemblait au langage des baleines.
 Agnès Desarthe
J'ai trouvé ce qui nous sépare, toi et moi. Vous et nous. La conscience de votre propre finitude, vous l'avez, je l'accepte, je le constate, mais ce qui vous manque, c'est la conscience de la finitude de l'autre. L'amour nait de là.
 Agnès Desarthe