La pente des yeux, la couleur ...

La pente des yeux, la couleur de la peau, l'orientation des sourcils, l'implantation du nez, le dessin des lèvres. Parfois, un visage vous bouleverse. Le contempler vous blesse et vous console.
 Agnès Desarthe

Citations liés

Les gens s'attendent toujours à ce que les traîtres aient un visage de traître.
 Alfred Bester
CRÉON : On est tout seul, Hémon. Le monde est nu. Et tu m'as admiré trop longtemps. Regarde-moi, c'est cela devenir un homme, voir le visage de son père en face, un jour.
 Jean Anouilh
Le temps est ce que nous sommes.Il est sur notre visage,dans nos silences,dans notre attente.Méritons le temps de la patience et des jours où rien n'arrive.
De même que la valeur de la vie n'est pas en sa surface mais dans ses profondeurs, les choses vues ne sont pas dans leur écorce mais dans leur noyau, et les hommes ne sont pas dans leur visage mais dans leur cœur.
Visage d'ange mais c'est un diable. Princesse redoutable. Préfère le maniement du sabre à l'apprentissage du piano, les courses à cheval aux ragots. Déteste les jérémiades.
 Rébecca Dautremer

Citations du même auteur

La pente des yeux, la couleur de la peau, l'orientation des sourcils, l'implantation du nez, le dessin des lèvres. Parfois, un visage vous bouleverse. Le contempler vous blesse et vous console.
 Agnès Desarthe
Oh, on va pas se disputer pour ça. Moi, je suis moche, et toi, t'es con. Tout va très bien. C'est équilibré. C'est normal.
 Agnès Desarthe
Paulus aurait pu dire n'importe quoi. Avec cette voix bizarre, il réussissait à entrer en moi sans passer par mon cerveau. C'était comme une vibration, peut-être quelque chose qui ressemblait au langage des baleines.
 Agnès Desarthe
Paulus aurait pu dire n'importe quoi. Avec cette voix bizarre, il réussissait à entrer en moi sans passer par mon cerveau. C'était comme une vibration, peut-être quelque chose qui ressemblait au langage des baleines.
 Agnès Desarthe
J'ai trouvé ce qui nous sépare, toi et moi. Vous et nous. La conscience de votre propre finitude, vous l'avez, je l'accepte, je le constate, mais ce qui vous manque, c'est la conscience de la finitude de l'autre. L'amour nait de là.
 Agnès Desarthe