Mon mari est parti un beau ...

Mon mari est parti un beau matin d'automne Parti je ne sais où Je me rappelle bien la vendange était bonne Et le vin était doux
 Anne Sylvestre

Citations liés

La vie est trop courte pour boire du mauvais vin.
Au riche et au pauvre il fait part égale en dispensant la joie du vin, remède à toute peine. (...) Ce que croit et pratique la foule des modestes je l'accepte pour moi.
Les japonais fabriquent des vélos, Manufrance ferme. Les japonais fabriquent des voiture, Renault va fermer. Si un jour, les japonais fabriquent du camembert et du vin rouge, il faudra fermer la France.
 Coluche

Citations du même auteur

Mon mari est parti un beau matin d'automne Parti je ne sais où Je me rappelle bien la vendange était bonne Et le vin était doux
 Anne Sylvestre
Quand vous jouiez à la guerre Moi je gardais la maison J'ai usé de mes prières Les barreaux de vos prisons Quand vous mourriez sous les bombes Je vous cherchais en hurlant Me voilà comme une tombe Avec tout le malheur dedans
 Anne Sylvestre
Je me cachais. Je n'étais pas préparée à être exposée à un public. Quand tu défends tes propres textes, c'est ton cœur et tes tripes que tu présentes aux autres. Est-ce que les gens allaient comprendre ce que j'écrivais ? Mes genoux tremblaient, mes rotules sautaient... C'était terrible de peur et de chagrin. J'ai beaucoup, beaucoup souffert de cette exposition que pourtant je recherchais. Tous les soirs, je rentrais chez moi désespérée, et le lendemain matin, je me réveillais en me disant : " J'y retourne ! " Il m'a fallu des années pour admettre que, peut-être, quelques personnes m'écoutaient et m'aimaient.
 Anne Sylvestre
Je me cachais. Je n'étais pas préparée à être exposée à un public. Quand tu défends tes propres textes, c'est ton cœur et tes tripes que tu présentes aux autres. Est-ce que les gens allaient comprendre ce que j'écrivais ? Mes genoux tremblaient, mes rotules sautaient... C'était terrible de peur et de chagrin. J'ai beaucoup, beaucoup souffert de cette exposition que pourtant je recherchais. Tous les soirs, je rentrais chez moi désespérée, et le lendemain matin, je me réveillais en me disant : " J'y retourne ! " Il m'a fallu des années pour admettre que, peut-être, quelques personnes m'écoutaient et m'aimaient.
 Anne Sylvestre