M. Cazin ne se distinguait ...

M. Cazin ne se distinguait pas moins par les qualités du cœur que par les qualités de l'esprit. Il était toujours prêt à obliger, toujours prêt à courir au secours de ceux qui souffraient, sans examiner si ceux qui le faisaient appeler pourraient ou ne pourraient pas le rémunérer.
 François-Joseph Cazin

Citations liés

La nature vient au secours de tous les abandons ; là où tout manque, elle se redonne tout entière ; elle refleurit et reverdit sur tous les écroulements ; elle a le lierre pour les pierres et l'amour pour les hommes.
Nul ne se soucie de moi, songeait Rostov. Il n'y a personne pour me porter secours, personne pour me plaindre. Et dire qu'il y a quelque temps j'étais à la maison, plein de force et de joie, et que tout le monde m'aimait !
 Léon Tolstoï
Tenez bon, doulce Ombe, je marmonne dans mon casque, grisé par les vibrations et les pétarades du moteur deux temps. J'arrive à bride abattue sur mon puissant destrier, chevauchant à travers monts et plaines pour vous porter secours.
 Erik L'Homme
Quand on a besoin des bras, les secours en paroles ne servent de rien.
 Esope
Comme mon cœur battait tandis qu'il revenait vers moi au pas de course à travers le champ ! Il courait comme s'il avait dû me porter secours. Et je fus tout contrit ; car au fond de moi je l'avais toujours un peu méprisé.
 James Joyce

Citations du même auteur

" Le traité de F-J Cazin, une leçon de médecine de partage ". - Ouvrage d'un médecin humaniste, remarquable observateur, fondateur de la phytothérapie savante de langue française.
 François-Joseph Cazin
On pourra lire Cazin comme l'une des plus grandes sommes de médecine végétale, et à cet égard seul, y gagner beaucoup en connaissance. Mais, autant l'annoncer d'entrée : qui fréquente assidûment le Traité pratique et raisonné des plantes médicinales indigènes finira par suivre, fût-ce de loin, l'homme partait sous la pluie d'hiver, en calèche, sans examiner si ceux qui le faisaient appeler pourraient ou non le rémunérer. Là où il va, c'est là où demeure toujours, et jamais guérie, la justice.
 François-Joseph Cazin
On pourra lire Cazin comme l'une des plus grandes sommes de médecine végétale, et à cet égard seul, y gagner beaucoup en connaissance. Mais, autant l'annoncer d'entrée : qui fréquente assidûment le Traité pratique et raisonné des plantes médicinales indigènes finira par suivre, fût-ce de loin, l'homme partait sous la pluie d'hiver, en calèche, sans examiner si ceux qui le faisaient appeler pourraient ou non le rémunérer. Là où il va, c'est là où demeure toujours, et jamais guérie, la justice.
 François-Joseph Cazin