" Le traité de F-J Cazin, ...

Le traité de F-J Cazin, une leçon de médecine de partage . - Ouvrage d'un médecin humaniste, remarquable observateur, fondateur de la phytothérapie savante de langue française.
 François-Joseph Cazin

Citations liés

Partager ce que nous avons avec les autres, c’est ouvrir notre coeur à la bonté et au bonheur.
C'est un bijou de famille... un souvenir de mes grands-parents et de mes parents... cette montre qui a partagé leur vie est la preuve que deux générations de ma famille ont connu le véritable amour.
 Tsukasa Hojo
Malheur à l'homme qui oubliant son devoir de merveilles, a, par vœu de puissance ou par avidité, trahi la main tendue et le rite de partage. Mais honneur à ceux qui vont et viennent et partagent avec l'autre la douceur de la halte.
 Lyonel Trouillot
Mon père m'avait prévenu : la tristesse se cramponne à la tristesse et les dépressifs se promènent en bande avec un air de chien battu. Il n' y a pas pire raison pour se lier d'amitié qu'un désastre partagé.
 Chris Adrian

Citations du même auteur

M. Cazin ne se distinguait pas moins par les qualités du cœur que par les qualités de l'esprit. Il était toujours prêt à obliger, toujours prêt à courir au secours de ceux qui souffraient, sans examiner si ceux qui le faisaient appeler pourraient ou ne pourraient pas le rémunérer.
 François-Joseph Cazin
On pourra lire Cazin comme l'une des plus grandes sommes de médecine végétale, et à cet égard seul, y gagner beaucoup en connaissance. Mais, autant l'annoncer d'entrée : qui fréquente assidûment le Traité pratique et raisonné des plantes médicinales indigènes finira par suivre, fût-ce de loin, l'homme partait sous la pluie d'hiver, en calèche, sans examiner si ceux qui le faisaient appeler pourraient ou non le rémunérer. Là où il va, c'est là où demeure toujours, et jamais guérie, la justice.
 François-Joseph Cazin
On pourra lire Cazin comme l'une des plus grandes sommes de médecine végétale, et à cet égard seul, y gagner beaucoup en connaissance. Mais, autant l'annoncer d'entrée : qui fréquente assidûment le Traité pratique et raisonné des plantes médicinales indigènes finira par suivre, fût-ce de loin, l'homme partait sous la pluie d'hiver, en calèche, sans examiner si ceux qui le faisaient appeler pourraient ou non le rémunérer. Là où il va, c'est là où demeure toujours, et jamais guérie, la justice.
 François-Joseph Cazin