La solitude est une sorte de tare : elle a un subtil parfum de tristesse, quelque chose qui n'attire, ni n'intéresse personne, et on en a un peu honte.
Sans doute le bruit courait-il que je l'avais ensorcelée ou que j'étais un baiseur de première. Au point que je me demandais parfois s'il n'y avait pas comme un parfum de vérité là-dessous.
Comme un éclat de rire Vient consoler tristesse, Comme un souffle avenir Vient raviver les braises, Comme un parfum de soufre Qui fait naître la flamme Quand, plongé dans le gouffre, On sait plus où est l'âme
Je m'installe à ses côtés et presse la tête contre son épaule. Amoureusement enlacés,nous contemplons l'immense étendue liquide et sombre qui s'étire à l'infini, invisible à nos regards.
J'en reste comme deux rond de flan, c e qui ne m'empêche pas de songer : et depuis quand te préoccupes-tu de tes économies, monsieur, Je-gagne-des-millions-au-champ-de-courses-et-génère-tout-ce-que-je-veux-rien-que-par-mon-énergie-mentale?