La mort n'atteint pas seulement celui qui doit fermer les yeux à jamais mais aussi les autres, tous les autres qui recevront l'horreur et l'absence en partage.
Je regrettais sa souffrance, mais elle se fichait de la mienne. Elle s'en réjouissait même. Sale humaine ! Des larmes, moins nourries cette fois, roulaient en silence sur mes joues.
En quoi ça peut m'aider de vous dire que je vois son visage à chaque fois que je ferme les yeux? Que je me réveille en larmes parce qu'il n'est pas là ?