Peu à peu, j'ai découvert que la ligne de partage entre le bien et le mal ne sépare ni les États ni les classes ni les partis, mais qu'elle traverse le cœur de chaque homme et de toute l'humanité.
Dans les camps et dans les prisons,Ivan Denissovitch s'était déshabitué de prévoir:pour aujourd'hui comme pour dans un an,et comme aussi pour faire vivre les siens.Les chefs s'en occuppent à votre place;autant de soucis en moins.