Il faut que les écrits fait pour les solitaires parlent la langue des solitaires : pour les instruire, il faut qu'ils leur plaisent, qu'ils les intéressent ; il faut qu'ils les attachent à leur état en le leur rendant agréable. Ils doivent combattre et détruire les maximes des grandes sociétés, ils doivent les montrer fausses et méprisables, c'est-à-dire telles qu'elles sont. A tous ces titres, un roman s'il est bien fait, au moins s'il est utile, doit être sifflé, haï, décrié par les gens à la mode, comme un livre plat, extravagant, ridicule ; et voilà, monsieur, comment la folie du monde est sagesse.
Il faut que les écrits fait ...
Citations liés
La sagesse vaut mieux que la force, mais la sagesse du pauvre est méconnue et ses paroles, personne ne les écoute.
Tu as été élevé à l'amour cosmique, à la liberté de l'esprit, à la sagesse universelle. Moi, je rêve de rencontrer le prince charmant, de rigoler avec mes amies et de m'éclater dans la vie ! Voilà !
Frédéric Lenoir
La sagesse, c'est d'avoir des rêves suffisamment grand pour ne pas les perdre de vue lorsqu'on les poursuit.
Mon Dieu, donne-moi la sérénité d'accepter les choses que je ne puis changer, le courage de changer les choses que je puis changer, et la sagesse d'en connaitre la différence
Robert Talbot
Citations du même auteur
La patience est amère, mais son fruit est doux.
La première loi du bonheur est le respect des autres.
Le calme est le bien le plus précieux des hommes.
La tentation est un jeu dangereux où il est facile de perdre. C'est pourquoi il faut être prudent et réfléchir à chaque pas.
Me voici donc seul sur la terre, n'ayant plus de frère de prochain d'ami de société que moi-même. Le plus sociable et le plus aimant des humains en a été proscrit par un accord unanime. Ils ont cherché dans les raffinements de leur haine quel tourment pouvait être le plus cruel à mon âme sensible, et ils ont brisé violemment tous les liens qui m'attachaient à eux. J'aurais aimé les hommes en dépit d'eux-mêmes. Ils n'ont pu qu'en cessant de l'être se dérober à mon affection. Les voilà donc étrangers, inconnus, nuls enfin pour moi puisqu'ils l'ont voulu.