Citations Tristan Bernard - page 3

Retrouvez des dizaines de citations de Tristan Bernard avec des images à copier et à partager.

Nos besoins de haine sont satisfaits, mais nos besoins d'amour restent inoccupés.
La principale qualité de l'auteur à succès est un tact spécial pour mettre la main sur les sujets qui ne sont pas trop nouveaux sans être encore défraîchis.
L'arête est la vengeance du poisson et la gueule de bois, la colère des raisins.
Il y a des gens qui fuient la jalousie par paresse, d'autres qui l'écartent par orgueil.
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L'avantage du trait d'esprit, c'est qu'il est court - et léger. Il n'excède pas le poids maximum au-delà duquel il serait refusé par les mémoires moyennes.
Personne dans un théâtre n'a moins d'importance que l'auteur de la pièce.
Le théâtre n'est pas un musée où l'on peut s'attarder devant un tableau qu'on aime.
Le meilleur moyen de faire cesser la tentation, c'est d'y succomber.
C'est un grave défaut d'être équitable quand votre tempérament vous oblige à travailler dans la satire.
Le meilleur gage de succès pour un orateur, c'est d'avoir un auditoire gagné d'avance.
Le grand avantage de la passion, c'est qu'elle nous fait passer le temps.
Le théâtre n'est pas muet comme est le ciné et n'est pas privé du geste comme le roman.
L'argent n'a pas d'odeur, mais à partir d'un million il commence à se faire sentir.
La Banqueroute, c'est quand vos créanciers saisissent votre veston et quand vous avez mis votre argent dans la poche du pantalon.
Ce qu'il y a de terrible avec l'argent gagné au jeu, c'est qu'on le dépense d'abord et qu'on le reperd après.
L'homme n'est pas fait pour le travail et la preuve, c'est que ça le fatigue.
On avait envie de lui dire, comme une mère à un enfant qui se gratte la tête : "Veux-tu bien laisser ta conscience tranquille !".
Tout le monde peut s’intituler critique, et d’autant plus facilement que l’on n’y connaît rien.
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L'humanité qui devrait avoir six mille ans d'expérience retombe en enfance à chaque génération.
L'Allemand n'arrive pas à comprendre ce que Napoléon plus intelligent pourtant, saisissait à peine : à savoir que la victoire, très amusante pour le vainqueur, l'est infiniment moins pour le vaincu.