Citations Tahar Ben Jelloun - page 2

Retrouvez des dizaines de citations de Tahar Ben Jelloun avec des images à copier et à partager.

La littérature ne change ni l'homme ni la société. Pour autant, l'absence de littérature rendrait l'homme encore plus infréquentable.
Respecter une femme, c'est pouvoir envisager l'amitié avec elle.
L'amitié est une religion sans Dieu ni jugement dernier.
L'absence est une ride du souvenir. C'est la douceur d'une caresse, un petit poème oublié sur la table.
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Ce ne sont pas les années qui pèsent le plus, mais tout ce qui n'a pas été dit, tout ce que j'ai tu et dissimulé. Je ne savais pas qu'une mémoire remplie de silences et de regards arrêtés pouvait devenir un sac de sable rendant la marche difficile.
C'est dans les épreuves pénibles que la plus plate des banalités devient exceptionnelle, la choses du monde la plus désirée.
Le temps est le meilleur bâtisseur de l'amitié. Il est aussi son témoin et sa conscience. Les chemins se séparent, puis se croisent.
Une vraie rencontre, une rencontre décisive, c'est quelque chose qui ressemble au destin.
Le temps est le meilleur bâtisseur de l'amitié. Il est aussi son témoin et sa conscience. Les chemins se séparent, puis se croisent.
Le désir de l'amour engendre l'amour.
Quand une amitié est bafouée, rien ne peut la reconstituer. Tandis que les blessures d'amour - du désir, de la sexualité - peuvent se cicatriser, celles de l'amitié sont éternelles, définitives.
L'amitié qui se lit sur les visages et dans les gestes devient comme une prairie dessinée par un rêve dans une longue nuit de solitude.
C'est l'histoire d'un homme simple, comme il y en a des millions, qui, à force d'être écrasé, humilié, nié dans sa vie, a fini par devenir l'étincelle qui embrase le monde.
C'est l'histoire d'un homme simple, comme il y en a des millions, qui, à force d'être écrasé, humilié, nié dans sa vie, a fini par devenir l'étincelle qui embrase le monde.
La raison n'est pas toujours bonne. Faut pas croire, mais trop de raison dans les sentiments, ça les abîme souvent. Quelqu'un a dit, je crois que c'est un mexicain, que " la raison qui ne dort jamais produit des monstres ".
La défaite commence à partir du moment où l'adversaire parvient à vous faire douter de vous même jusqu'à ce que vous sentiez coupable et soyez prêt à agir selon sa volonté, à vous plier à ses exigences.
L'absence est une ride du souvenir. C'est la douceur d'une caresse, un petit poème oublié sur la table.
Le temps est le meilleur bâtisseur de l'amitié. Il est aussi son témoin et sa conscience. Les chemins se séparent, puis se croisent.
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L'amitié est une religion sans Dieu ni jugement dernier. Sans diable non plus. Une religion qui n'est pas étrangère à l'amour. Mais un amour où la guerre et la haine sont proscrites, où le silence est possible.
C'est l'histoire d'un homme leurré par le vent, oublié par le temps et nargué par la mort.