Citations Paulo Coelho - page 5

Retrouvez des dizaines de citations de Paulo Coelho avec des images à copier et à partager.

Ce qui existe, ce sont les échecs. Personne n'y échappe. Aussi vaut-il mieux perdre quelques combats en luttant pour ses rêves que d'être battu sans seulement savoir pour quoi on lutte.
Les gens veulent tout changer et, en même temps, souhaitent que tout continue uniformément.
Travailler est une bénédiction quand cela nous aide à penser à ce que nous sommes en train de faire. Mais cela devient une malédiction quand cela n'a d'autre utilité que de nous éviter de penser au sens de notre vie.
Tous les malheurs ont une fin. Ainsi en est-il aussi des gloires et des tragédies du monde.
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Le Bon Combat est celui engagé parce que notre cœur le demande.
La liberté n'est pas l'absence d'engagement, mais la capacité de choisir.
Ce n'est pas la peine d'expliquer que dans la vengeance, le maximum qui puisse nous arriver est de nous mettre à égalité avec nos ennemis, alors que dans le pardon nous montrons plus de sagesse et d'intelligence.
Le guerrier se concentre sur les petits miracles de la vie quotidienne. S'il est capable de voir ce qui est beau, c'est qu'il porte en lui la beauté - puisque le monde est un miroir qui renvoie à chacun l'image de son propre visage.
Savoir qu'aucun jour n'est semblable à un autre, et que chaque matin comporte son miracle particulier, son moment magique, où de vieux univers s'écroulent et de nouvelles étoiles apparaissent.
Il n'y a qu'une seule chose qui puisse rendre un rêve impossible à réaliser : c'est la peur d'échouer.
Quand tous les jours sont ainsi semblable les uns aux autres, c'est que les gens ont cessé de s'apercevoir des bonnes choses qui se présentent dans leur vie tant que le soleil traverse le ciel.
La danse est l'une des formes les plus parfaites de communication avec l'intelligence infinie.
Il est toujours bon d'avoir une activité lente avant de prendre une décision importante.
Il n'y a ni victoire ni défaite dans le cycle de la nature : il y a du mouvement.
Quoi qu'elle fasse, dit il, toute personne sur terre joue toujours le role principale de l'Histoire du monde. Et normalement elle n'en sait rien.
L'inconnu est la seule chose qui nous rend vraiment vivants, c'est ce qui nous donne le courage de nous lancer dans l'inconnu.
C'est pour cette raison que j'écris, pour transformer la tristesse en nostalgie, la solitude en souvenirs.
"J'aurais dû faire preuve de davantage de folie". Mais, comme cela arrivait sans doute à la plupart des gens, Veronika l'avait découvert trop tard.
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L'âge ne fait perdre le rythme qu'à ceux qui n'ont jamais eu le courage d'avancer tout seuls.
L'heure la plus sombre est toujours celle avant le lever du soleil