Citations Paulo Coelho - page 12

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Aujourd'hui, je suis convaincu que personne ne perd personne. C'est cela la vraie expérience de la liberté : avoir la chose la plus importante au monde sans la posséder.
Ce n'est pas la peine d'expliquer que dans la vengeance, le maximum qui puisse nous arriver est de nous mettre à égalité avec nos ennemis, alors que dans le pardon nous montrons plus de sagesse et d'intelligence.
Mais je crois que Dieu, dans son infime sagesse, a caché l'enfer au milieu du paradis.
Les peurs, le manque de confiance en soi, la volonté de ne pas regarder tout ce qui est merveilleux parce que demain tout peut finir, et que l'on souffrira.
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Tous les chemins sont le même chemin, mais tu dois choisir et tu vivras sur le chemin tous les chemins que tu n'as pas choisis.
Le guerrier se concentre sur les petits miracles de la vie quotidienne. S'il est capable de voir ce qui est beau, c'est qu'il porte en lui la beauté - puisque le monde est un miroir qui renvoie à chacun l'image de son propre visage.
On ne peut pas juger la beauté d'un chemin si l'on ne regarde que l'entrée.
Nous devons être préparés à recevoir les attaques de l'ennemi et pouvoir regarder la mort dans les yeux pour qu'elle éclaire notre chemin.
Si tu ne veux pas t'attirer d'ennuis, partage toujours la responsabilité.
Tout ce qui est fait dans le présent affecte l'avenir en conséquence, et le passé par rédemption.
Ce n'est pas la peine d'expliquer que dans la vengeance, le maximum qui puisse nous arriver est de nous mettre à égalité avec nos ennemis, alors que dans le pardon nous montrons plus de sagesse et d'intelligence.
Faire ses adieux. C'était le plus difficile : une fois dans un asile, on s'accoutume à la liberté que procure l'univers de la folie, et on finit par prendre de mauvaises habitudes.
Le monde étant ce qu'il est, un jour de bonheur est presque un miracle.
L'amour est une force sauvage. Quand nous essayons de le contrôler, il nous détruit. Quand nous essayons de l'emprisonner, il nous rend esclaves. Quand nous essayons de le comprendre, il nous laisse perdus et confus.
De nos jours, la cravate est devenue un symbole d'aliénation, de pouvoir, ou le signe d'une attitude réservée.
On nous considérera toujours comme un couple heureux, et personne ne saura ce qu'il y a de solitude, d'amertume, de renoncement derrière cette apparence de bonheur.
[...] Plus les gens peuvent être heureux, plus ils sont malheureux.