Retrouvez des dizaines de citations de Marc Lévy avec des images à copier et à partager.
Les parents sont des montagnes que l'on passe sa vie à essayer d'escalader, en ignorant qu'un jour c'est nous qui tiendront leur rôle.
Il suffit parfois d'un regard, d'une présence, d'un geste, pour que naisse l'amitié, par-delà les différences qui nous retiennent et nous effraient; il suffit d'une main tendue pour que s'imprime la mémoire d'un visage que jamais le temps n'effacera.
Il me suffit désormais de fermer mes paupières pour te voir, cesser de respirer pour sentir ton odeur, me mettre face au vent pour deviner ton souffle.
C'est incroyable que tu aies continué à l'aimer sans retour, que tu aies su te nourrir du seul sentiment que tu lui portais, que tu aies respecté sa liberté, te contenter du fait qu'elle existe sans chercher à la revoir, juste pour la protéger.
Je veux voir mon frère, le serrer dans mes bras, lui dire que tout n'était qu'un absurde cauchemar ; qu'au réveil j'ai retrouvé nos vies, comme ça, par hasard, dans le coffre où maman rangeait mes affaires.
-Mon père me disait, quand tu ne peux pas envisager une situation dans sa globalité, aborde-là étape par étape. Chacune te paraîtra envisageable et l'addition de petits succès te conduira jusqu'au bout que tu t'es fixé.
Tu connais l'histoire de cet homme qui comparaissait devant une cour de justice pour avoir assassiné ses deux parents et qui a sollicité la clémence du juge en lui rappelant qu'il s'apprêtait à condamner un orphelin!
« La vie a bien plus d'imagination que nous tous réunis, elle est parfois porteuses de petits miracles, tout est possible, il suffit d'y croire de toutes ses forces. »,
Les crimes parfaits existent, les meilleurs policiers vous confieront en fin de carrière qu'ils trainent derrière eux comme un fardeau sur la conscience leur lot d'affaires non résolues.
Réveille moi donc ton sourire ; il suffit d'une minuscule graine d'espoir pour planter tout un champ de bonheur...et d'un peu plus de patience pour lui laisser le temps de pousser.
Il faut identifier le bonheur lorsqu'il est à ses pieds, avoir le courage et la détermination de se baisser pour le prendre dans ses bras... et le garder.
Il n’est de pire solitude que celle qu’on éprouve quand on est deux.
Il est des journées faites de petits riens et qui vous laissent le vague à l'âme, de moments de solitude dont on se souvient longtemps, très longtemps.