Citations Friedrich Nietzsche - page 2

Retrouvez des dizaines de citations de Friedrich Nietzsche avec des images à copier et à partager.

La tension est ce qui vous permet de découvrir votre propre force.
Tout ce qu'il fait à présent est honnête et conforme au bon ordre - et pourtant cela lui donne mauvaise conscience. Car il a pour tâche l'extraordinaire.
Il faut avoir un chaos en soi-même pour accoucher d'une étoile qui danse.
Ce n'est pas le doute, c'est la certitude qui rend fou.
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Le défaut le plus répandu de notre type de formation et d’éducation : personne n'apprend, personne n'aspire, personne n'enseigne... à supporter la solitude.
Il faut honorer dans son ami l'ennemi même.
Que dit ta conscience ? Tu dois devenir l'homme que tu es.
Les excuses sont un pas vers la guérison.
§ 154 Un siècle de barbarie commence, et les sciences seront à son service.
Le fourreau doré de la compassion cache parfois le poignard de l'envie.
De tout temps on a pris les "beaux sentiments" pour des arguments.
Entre amis, il est si beau que le silence soit d'or, mais le rire bon et frais l'est beaucoup plus encore.
Ce que je préférerai, - c'est ce dont s'abuse l'esprit abusé -, c'est d'aimer la terre comme l'aime la lune et de n'effleurer sa beauté que des yeux.
L'amour d'un seul est une barbarie, car il s'exerce aux dépens de tous les autres.
Mais sans le mythe, toute culture est dépossédée de sa force naturelle, saine et créatrice; seul un horizon constellé de mythes parachève l'unité d'une époque entière de culture.
C'est que la conscience n'est qu'un instrument; et en égard à toutes les grandes choses qui s'opèrent dans l'inconscient, elle n'est, parmi les instruments, ni le plus nécessaire ni le plus admirable.
L'ami doit être passé maître dans l'art de deviner et dans l'art de se taire.
Toute communauté - un jour, quelque part, d'une manière ou d'une autre - rend "commun".
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Ne plus cacher sa tête dans le sable des choses célestes, mais la porter fièrement, une tête terrestre qui crée le sens de la terre.
« Là où se trouve l'arbre de la connaissance se trouve aussi le paradis. » Ainsi parlent les plus vieux et les plus jeunes serpents.