Tuer les nuances c'est tuer ...

Tuer les nuances c'est tuer la liberté, l'appétit de créer, l'amour, le bonheur. C'est déchirer la trame étincelante de la vie et la changer en haillon.
 Paul Guth

Citations liés

L'unique règle de plaire est de trouver un appétit que l'on a laissé affamé. S'il le faut provoquer, que ce soit plutôt par l'impatience du désir que par dégoût de la jouissance.
 Baltasar Gracián
Colin s'arrêta. — Nicolas quoi ? dit Chick. — J'hésite à te le dire, ça va peut-être te couper l'appétit. — Va donc, dit Chick, il ne m'en reste presque plus. — Nicolas est entré à ce moment-là et lui a sectionné la tête avec une lame de rasoir. Ensuite, il a ouvert le robinet et tout le reste est venu. — C'est tout ? dit Chick. Redonne-moi du pâté. J'espère qu'elle a une nombreuse famille dans le tuyau.
 Boris Vian
La société est composée de deux grandes classes : ceux qui ont plus de dîners que d'appétit, et ceux qui ont plus d'appétit que de dîners.
 Sébastien-Roch Nicolas de Chamfort
La passion est un mouvement par lequel l'appétit sensitif se porte avec altération du corps, ou à la poursuite de quelque bien ou à la fuite de quelque mal, que l'appréhension lui représente.
 Pierre Le Moyne
Tout est plus facile à dire dans une cuisine, tout y est nuancé par cette intention du partage, un appétit fait de la sève même des choses.
 Serge Joncour

Citations du même auteur

Tuer les nuances c'est tuer la liberté, l'appétit de créer, l'amour, le bonheur. C'est déchirer la trame étincelante de la vie et la changer en haillon.
 Paul Guth
La fortune des riches est faite de la misère des pauvres. La chance des heureux est prise sur la malchance des misérables.
 Paul Guth
Laisser conduire à Paris sa voiture à sa femme, c'est vouloir soit une autre voiture, soit une autre femme.
 Paul Guth
En voyage, comme dans le reste de la vie, ce long voyage, le plaisir, paie l'énergie.
 Paul Guth
Tuer les nuances c'est tuer la liberté, l'appétit de créer, l'amour, le bonheur. C'est déchirer la trame étincelante de la vie et la changer en haillon.
 Paul Guth