Tout le malheur des hommes vient de ce malentendu: ce que Dieu te prête tu dois savoir le rendre. Aucune chose sur terre ne t'appartient vraiment. Ni ta patrie dont tu parles ni la tombe qui te fera poussière parmi la poussière.
Maintenant que je suis à la fin de ma vie, je laisse à ceux qui viendront après moi ce que j'ai appris en cheminant sur la terre. Qu'ils en fassent bon usage.
Nous devons être les gardiens de cette planète. Nous devons prendre des mesures pour améliorer l'environnement et laisser un monde meilleur à nos enfants.
La terre se couvre d'une nouvelle race d'hommes à la fois instruits et analphabètes,maîtrisant les ordinateurs et ne comprenant plus rien aux âmes,oubliant même ce qu'un tel mot a pu jadis désigner.
La quintessence de notre travail, c'est d'en venir à reconnaître l'existence de Dieu, d'en ressentir La présence, puis de constater, ce faisant, que la " terre entière est remplie de Sa gloire. "
Suicide et meurtre sont ici deux faces d'un même ordre, celui d'une intelligence malheureuse qui préfère à la souffrance d'une condition limitée la noire exaltation où terre et ciel s'anéantissent.
Rien ne dure. Ni la gloire. Ni la fortune. Ni les flatteries ni les adulations. Le monde n'est que leurres et incongruité. Et malheur à celui qui se laisse prendre à son jeu