Quand la force triomphe d'une ...

Quand la force triomphe d'une belle, c'est qu'elle l'a bien voulu.
 Ovide

Citations liés

La vérité ne triomphe jamais tout de suite, mais les imbéciles finissent par mourir. Les dernières chaînes
 Jacques Bergier
La perfection n'existe pas; la comprendre est le triomphe de l'intelligence humaine; la désirer pour la posséder est la plus dangereuse des folies.
Se vaincre, en plein triomphe, est triompher deux fois.
 Publius Syrus
Eh bien ! belle madame, ai-je tenu parole, et mon triomphe est-il complet ? Allons, qu'on se jette à genoux, qu'on baise avec respect cette lettre, et qu'on reconnaisse humblement qu'au moins une fois en la vie Julie de Wolmar a été vaincue en amitié.
Peuple de Panem, courage, bats-toi pour le triomphe de la justice !
 Suzanne Collins

Citations du même auteur

Tant que tu seras heureux, tu compteras beaucoup d'amis. Que le ciel s'obscursisse et tu seras tout seul.
 Ovide
Je sens mon cœur inconstant tiraillé entre l'amour et la haine qui se livrent combat ; mais, je le crois, c'est l'amour qui l'emporte. Je haïrai, si je le puis ; sinon, j'aimerai, mais malgré moi. Le taureau non plus n'aime pas le joug ; il ne porte pas moins ce qu'il hait. Je fuis sa perfidie ; pendant que je fuis, sa beauté me rappelle. J'abhorre les défauts de ton âme et j'aime ton corps. Ainsi je ne puis vivre ni sans toi ni avec toi et ne sais pas moi-même ce que je désire.
 Ovide
Je sens mon cœur inconstant tiraillé entre l'amour et la haine qui se livrent combat ; mais, je le crois, c'est l'amour qui l'emporte. Je haïrai, si je le puis ; sinon, j'aimerai, mais malgré moi. Le taureau non plus n'aime pas le joug ; il ne porte pas moins ce qu'il hait. Je fuis sa perfidie ; pendant que je fuis, sa beauté me rappelle. J'abhorre les défauts de ton âme et j'aime ton corps. Ainsi je ne puis vivre ni sans toi ni avec toi et ne sais pas moi-même ce que je désire.
 Ovide
On trouve un certain charme à répandre des pleurs : En apaisant notre âme, ils calment nos douleurs.
 Ovide
Si le doute et l'erreur ont rendu malades les sociétés modernes, nous savons que Dieu fait les nations guérissables.
 Ovide