Pour définir l'ampleur d'un ...

Pour définir l'ampleur d'un ragot, il suffit de calculer la recette des machines à café.
 David Foenkinos

Citations liés

Beaucoup de gens accordent au café le pouvoir de donner de l'esprit; mais tout le monde a pu vérifier que les ennuyeux ennuient bien davantage après en avoir pris.
J'ai beaucoup aimé ce livre. L'atmosphère y est lourde et l'intrigue subtile. Les personnages, les lieux m'ont donnés envie de lire sans m'arrêter, de sentir ce vent sur mes joues et de m'arrêter boire un café. Bref un réél coup de cœur.
 Claudie Gallay
C'est ça la vie — pense [Martín Marco]. Avec ce que les uns dépensent pour faire leurs besoins bien à leur aise, les autres on aurait de quoi manger pour un an. C'est bien ça ! Les guerres, on devrait les faire pour qu'il y ait moins de gens qui fassent leurs besoins bien à leur aise et que le reste puisse manger un peu mieux. L'ennui, c'est que les intellectuels, allez donc savoir pourquoi, on continue à mal manger et à faire nos trucs dans les cafés. Ah, bon Dieu !
 Camilo José Cela
Je ne suis rien. Rien qu'une silhouette claire, ce soir-là, à la terrasse d'un café. J'attendais que la pluie s'arrêtât, une averse qui avait commencé de tomber au moment où Hutte me quittait.
 Patrick Modiano

Citations du même auteur

Le silence d'une femme est sa plus grande preuve d'amour.
 David Foenkinos
On ne vit pas seul mais avec une absence. Continuer à exister dans un cœur, c'était à mes yeux la plus belle des postérités.
 David Foenkinos
Il y avait cet émerveillement réel entre eux. Quelque chose qui était le merveilleux des contes, des instants volés à la perfection. Des minutes que l'on grave dans sa mémoire au moment même où on les vit. Des secondes qui sont notre future nostalgie.
 David Foenkinos
Au début, ce fut une toute petite tâche, comme une forme de nostalgie. Mais non, en se rapprochant bien, on pouvait discerner l'aspect mauve de la mélancolie. Et de plus près encore, on pouvait voir la vraie nature d'une certaine tristesse.
 David Foenkinos
C'est exactement comme un chagrin d'amour : on ne sait pas quand on s'en remettra. Au pire moment de la douleur, on pense que la plaie sera toujours vive. Et puis, un matin, on s'étonne de ne plus ressentir ce poids terrible.
 David Foenkinos