Citations Paulo Coelho - page 10

Retrouvez des dizaines de citations de Paulo Coelho avec des images à copier et à partager.

Alors, nous nous regardons mutuellement et nous nous aimons; je lui donne vie et chaleur, elle me donne une raison de vivre.
Un ami nous accepte comme nous sommes et nous aide à être ce que nous devrions.
Fragile, lasse désabusée. Gouvernant et tyrannisant ce qui devrait toujours rester libre : les sentiments. Essayant de juger l'amour futur d'après la souffrance passée.
Et à ceux qui se sentent opprimés par la solitude, il faut rappeler ceci : dans les moments les plus importants de la vie, nous serons toujours seuls.
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Quand un homme marche vers son destin, il est bien souvent forcé de changer de direction.
Nous devons être préparés à recevoir les attaques de l'ennemi et pouvoir regarder la mort dans les yeux pour qu'elle éclaire notre chemin.
L'homme courageux est l'homme qui ressent certaines peurs et ne se laisse pas effrayer par celles-ci.
Quoi qu'elle fasse, dit il, toute personne sur terre joue toujours le role principale de l'Histoire du monde. Et normalement elle n'en sait rien.
Une si jolie histoire d'amour,qui nous emmène dans un monde de rêves et de fidélité,chose qui n'existe pas maintenant
Au moment où tu exerces ton pouvoir de décision, tous les chemins sont concentrés dans le chemin que tu vas prendre.
Même la plus grande sagesse peut être occultée par l'éclat de la vanité.
Plus on est loin, plus ils sont près du cœur, les sentiments que nous essayons d'étouffer et d'oublier.
Mais je crois que Dieu, dans son infime sagesse, a caché l'enfer au milieu du paradis.
Écris : un guerrier de la lumière prête attention au regard d'un enfant, parce que les enfants savent voir le monde sans amertume. Lorsqu'il désire savoir si une personne est digne de confiance, il la regarde avec les yeux d'un enfant.
Les deux épreuves les plus difficiles sur le chemin spirituel : la Patience d'attendre le bon moment et le Courage de n'être pas déçus par ce que vous trouvez.
Si je restais, le rêve deviendrait réalité, volonté de posséder, désir que ta vie m'appartienne... Enfin, toutes ces choses qui finissent par transformer l'amour en esclavage. C'est mieux, le rêve.
Ce n'est pas la volonté d'obéir aux lois qui fait que tous se comportent comme l'exige la société, mais la peur du châtiment.
La peur de la souffrance est bien pire que la souffrance elle-même...
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Le pire, c'était choisir, et passer le restant de sa vie à se demander si l'on a fait le bon choix. Personne n'était capable de choisir sans avoir peur.
Même la plus grande sagesse peut être occultée par l'éclat de la vanité.