On dira que la révolution ...

On dira que la révolution est finie, qu'on n'a plus rien à craindre du tyran, qu'une loi punit de mort l'usurpateur ; mais, citoyens, la tyrannie est un roseau que le vent fait plier et qui se relève. Qu'appelez-vous donc la révolution, la chute du trône, les coups portés à divers abus ? L'ordre moral est comme l'ordre physique : les abus disparaissent un moment, comme l'humidité de la terre s'évapore ; les abus renaissent bientôt, comme l'humidité retombe des nuages. La révolution commence quand le tyran finit.
 Louis Antoine de Saint-Just

Citations liés

Nous devons être les gardiens de cette planète. Nous devons prendre des mesures pour améliorer l'environnement et laisser un monde meilleur à nos enfants.
La terre se couvre d'une nouvelle race d'hommes à la fois instruits et analphabètes,maîtrisant les ordinateurs et ne comprenant plus rien aux âmes,oubliant même ce qu'un tel mot a pu jadis désigner.
Maintenant que je suis à la fin de ma vie, je laisse à ceux qui viendront après moi ce que j'ai appris en cheminant sur la terre. Qu'ils en fassent bon usage.
La quintessence de notre travail, c'est d'en venir à reconnaître l'existence de Dieu, d'en ressentir La présence, puis de constater, ce faisant, que la " terre entière est remplie de Sa gloire. "
 Yéhouda Ashlag
Suicide et meurtre sont ici deux faces d'un même ordre, celui d'une intelligence malheureuse qui préfère à la souffrance d'une condition limitée la noire exaltation où terre et ciel s'anéantissent.

Citations du même auteur

Citoyens, on arrête en vain l'insurrection de l'esprit humain ; elle dévorera la tyrannie [...]
 Louis Antoine de Saint-Just
Il n'existe point de rapports entre les nations; elles n'ont que des intérêts respectifs, et la force fait le droit entre elles.
 Louis Antoine de Saint-Just
La confiance n'a plus de prix lorsqu'on la partage avec des hommes corrompus.
 Louis Antoine de Saint-Just
La destinée d'un peuple se compose de ceux qui visent à la gloire et de ceux qui visent à la fortune.
 Louis Antoine de Saint-Just
[...] je suis sans indulgence pour les ennemis de mon pays, je ne connais que la justice.
 Louis Antoine de Saint-Just