Né au cœur des champs, je retrouvais un à un mes repères d'antan, l'odeur des labours et le silence des tertres. Je renaissais dans ma peau de paysan, heureux de constater que mes habits de citadin n'avaient pas dénaturé mon âme.
Rien ne dure. Ni la gloire. Ni la fortune. Ni les flatteries ni les adulations. Le monde n'est que leurres et incongruité. Et malheur à celui qui se laisse prendre à son jeu