Le regard tourné vers ses ...

Le regard tourné vers ses yeux verts et vifs comme la jalousie, je ne voyais plus que lui. Il s'est penché, nos bouches se sont effleurées et nos bras enlacés. Son contact, son odeur, son goût... j'ai cru que mon cœur allait éclater.
 Gabrielle Zevin

Citations liés

Moi, pour la modestie, je ne crains personne ! Odeur du temps. Chroniques du temps qui passe, aux éditions Héloïse d'Ormesson, (ISBN 978-2-266-17930-0) ; dans un entretien, Jean d'Ormesson attribue ce propos à un cardinal espagnol.
 Jean d'Ormesson
L'odeur des fleurs est comme une musique pour l'âme.
 William Wordsworth
Il me suffit désormais de fermer mes paupières pour te voir, cesser de respirer pour sentir ton odeur, me mettre face au vent pour deviner ton souffle.

Citations du même auteur

Les histoires d'amour s'écrivent en millimètres et en millisecondes et d'un crayon rapide, émoussé, qui laisse à peine une trace, déclama Fuse. Elles se gravent au burain, en kilomètres et en éternités, sur le flanc d'une montagne.
 Gabrielle Zevin
Le regard tourné vers ses yeux verts et vifs comme la jalousie, je ne voyais plus que lui. Il s'est penché, nos bouches se sont effleurées et nos bras enlacés. Son contact, son odeur, son goût... j'ai cru que mon cœur allait éclater.
 Gabrielle Zevin
Le regard tourné vers ses yeux verts et vifs comme la jalousie, je ne voyais plus que lui. Il s'est penché, nos bouches se sont effleurées et nos bras enlacés. Son contact, son odeur, son goût... j'ai cru que mon cœur allait éclater.
 Gabrielle Zevin
Mon père disait qu'une personne n'était loyale que jusqu'au jour où elle nous trahissait. Ensuite, on ne pouvait plus jamais lui faire confiance.
 Gabrielle Zevin