Le pardon n'est pas une faiblesse, mais une force. Il ne signifie pas que vous oubliez ce qui s'est passé, mais que vous êtes prêt à accepter le passé et à avancer vers l'avenir.
On a toujours la possibilité de se défendre contre la haine, la médisance, la jalousie. On ne peut rien contre les bons sentiments. Ils paralysent les forces vives comme la glu colle les pattes des mouches trop aventureuses.
C'est la force des dirigeants modernes d'avoir compris que la religion ayant cessé d'être l'opium du peuple, la loterie qui pour un investissement modique permet l'égalité des chances, pouvait constituer une drogue de substitution.