Dès qu'on est jeté hors du ...

Dès qu'on est jeté hors du chemin habituel, on croit que tout est perdu ; et c'est pourtant là que commence quelque chose de nouveau, de bon. Tant qu'il y a de la vie, il y a du bonheur. Et nous avons devant nous du bonheur, beaucoup de bonheur.
 Léon Tolstoï

Citations liés

Le chemin de la vie est difficile et il y a des obstacles à surmonter, mais si tu sais où tu veux aller et tu gardes ton courage, tu peux tout surmonter.
Les deux épreuves les plus difficiles sur le chemin spirituel : la Patience d'attendre le bon moment et le Courage de n'être pas déçus par ce que vous trouvez.
Le chemin est plus important que la destination.
 Proverbe hindou
Le chemin de la vie est parsemé d'obstacles, mais si tu veux vraiment atteindre tes objectifs, tu dois vaincre chacun d'eux et faire ton chemin vers le sommet.
Il faut lutter pour ses rêves, mais il faut savoir également que quand certains chemins se révèlent impossibles, mieux vaut garder son énergie pour parcourir d'autres routes.

Citations du même auteur

L'homme n'a pouvoir sur rien tant qu'il a peur de la mort. Et celui qui n'a pas peur de la mort possède tout. Si la souffrance n'existait pas, l'homme ne se connaîtrait pas de limites, il ne se connaîtrait pas lui-même.
 Léon Tolstoï
Et la lumière, qui pour l'infortunée avait éclairé le livre de la vie, avec ses tourments, ses trahisons et ses douleurs, déchirant les ténèbres, brilla d'un éclat plus vif, vacilla et s'éteignit pour toujours.
 Léon Tolstoï
Nul ne se soucie de moi, songeait Rostov. Il n'y a personne pour me porter secours, personne pour me plaindre. Et dire qu'il y a quelque temps j'étais à la maison, plein de force et de joie, et que tout le monde m'aimait !
 Léon Tolstoï
Oui, tout est vanité, tout est mensonge en dehors de ce ciel sans limites. Il n'y a rien, absolument rien d'autre que cela... Peut-être même est-ce un leurre, peut-être n'y a-t-il rien, à part le silence, le repos.
 Léon Tolstoï
La pitié est toujours le même sentiment. Celà n'importe pas si vous la ressentez pour un humain ou pour une mouche.
 Léon Tolstoï