La société des loisirs est coincée entre une moitié de gens qui se plaignent de trop travailler et une autre moitié qui se plaignent de ne pas travailler assez.
La santé ressemble de plus en plus au sport : On en parle tous les jours aux nouvelles même s'il n'y a rien de particulièrement intéressant à raconter.
La santé ressemble de plus en plus au sport : On en parle tous les jours aux nouvelles même s'il n'y a rien de particulièrement intéressant à raconter.
Le temps est notre prison. Il peut aussi être notre piste de décollage.
Comme autrefois le diable, comme aujourd'hui la société, ce n'est jamais notre faute, le coupable est toujours ailleurs, hors de soi. Et très puissant.
L'histoire, à l'instar de bien d'autres choses que nous nous abstiendrons de nommer pour éviter des poursuites en diffamation, est toujours plus belle de loin.
S'il est vrai qu'il est plus facile pour un chameau de passer à travers le chas d'une aiguille que pour un riche d'entrer au Royaume des cieux, un constat s'impose : il n'y a pas de sport professionnel au paradis.
La pub peut tuer. C'est d'ailleurs l'un de ses objectifs : tuer le citoyen responsable, annihiler ses mécanismes de défense, le convaincre que le sens vient de l'objet, qu'il n'en a pas assez, qu'il n'en aura jamais assez.
Parce qu'il est l'ennemi du pouvoir et le commencement de la sagesse, le doute est la seule approche philosophique raisonnable, quoiqu'il soit tout à fait légitime d'en douter.
Le sport, c'est aussi le hooliganisme, des énergies considérables canalisées dans la bêtise.
S'il est vrai qu'il est plus facile pour un chameau de passer à travers le chas d'une aiguille que pour un riche d'entrer au Royaume des cieux, un constat s'impose : il n'y a pas de sport professionnel au paradis.