Citations Jean Dion

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Pourquoi mépriserait-on la passion pour le sport alors même qu’on encense celle pour l’art, la philosophie ou la science ?
L'empathie est une vertu publique obligée alors que l'indifférence est un vice privé.
La société des loisirs est coincée entre une moitié de gens qui se plaignent de trop travailler et une autre moitié qui se plaignent de ne pas travailler assez.
Les apparences, on ne le sait que trop, ont cette faculté d'être aussi trompeuses qu'un politicien en campagne électorale.
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Le dimanche soir, l'un des pires moments que l'on puisse imaginer : encore en congé mais déjà au travail, toute la force du capitalisme à l'œuvre.
Pourquoi mépriserait-on la passion pour le sport alors même qu'on encense celle pour l'art, la philosophie ou la science ?
Le doute agace prodigieusement. Le monde aime mieux des moitiés de certitudes et croire à n'importe quoi.
La santé ressemble de plus en plus au sport : On en parle tous les jours aux nouvelles même s'il n'y a rien de particulièrement intéressant à raconter.
Le temps est notre prison. Il peut aussi être notre piste de décollage.
La santé ressemble de plus en plus au sport : On en parle tous les jours aux nouvelles même s'il n'y a rien de particulièrement intéressant à raconter.
L'histoire, à l'instar de bien d'autres choses que nous nous abstiendrons de nommer pour éviter des poursuites en diffamation, est toujours plus belle de loin.
S'il est vrai qu'il est plus facile pour un chameau de passer à travers le chas d'une aiguille que pour un riche d'entrer au Royaume des cieux, un constat s'impose : il n'y a pas de sport professionnel au paradis.
L'avènement du cyberespace a eu pour principale conséquence d'abaisser le seuil de patience de l'humain postmoderne à un dixième de seconde.
Les apparences, on ne le sait que trop, ont cette faculté d'être aussi trompeuses qu'un politicien en campagne électorale.
Comme autrefois le diable, comme aujourd'hui la société, ce n'est jamais notre faute, le coupable est toujours ailleurs, hors de soi. Et très puissant.
Le sport, c'est aussi le hooliganisme, des énergies considérables canalisées dans la bêtise.
Parce qu'il est l'ennemi du pouvoir et le commencement de la sagesse, le doute est la seule approche philosophique raisonnable, quoiqu'il soit tout à fait légitime d'en douter.
La pub peut tuer. C'est d'ailleurs l'un de ses objectifs : tuer le citoyen responsable, annihiler ses mécanismes de défense, le convaincre que le sens vient de l'objet, qu'il n'en a pas assez, qu'il n'en aura jamais assez.
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La politique est l'art d'oublier que la véritable sincérité ne consiste pas à dire tout ce que l'on pense, mais à penser tout ce que l'on dit.
S'il est vrai qu'il est plus facile pour un chameau de passer à travers le chas d'une aiguille que pour un riche d'entrer au Royaume des cieux, un constat s'impose : il n'y a pas de sport professionnel au paradis.