Soyez honnête avec vous-même et les autres, car c'est là que commence la sincérité.
Citations Shakespeare - page 7
Retrouvez des dizaines de citations de William Shakespeare avec des images à copier et à partager.
C'est le métier de tout homme de parler de patience à ceux qui se tordent sous le poids de la souffrance ; mais nul n'a la vertu ni le pouvoir d'être si moral, quand il endure lui-même la pareille.
Etre furieux, c'est être vaillant par excès de peur.
Le pouvoir de tout modifier souverainement est dans notre volonté.
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Juliette: [...] Viens, gentille nuit ; viens, chère nuit au front noir, donne-moi mon Roméo, et, quand il sera mort, prends-le et coupe-le en petites étoiles, et il rendra la face du ciel si splendide que tout l'univers sera amoureux de la nuit et refusera son culte à l'aveuglant soleil... Oh ! j'ai acheté un domaine d'amour, mais je n'en ai pas pris possession, et celui qui m'a acquise n'a pas encore joui de moi.
L'ambition fait préférer une défaite à une victoire qui ternit la renommée du chef.
Et de même, sachant que j'aimais mes livres, sa bonté me pourvut d'un certain nombre de volumes tirés de ma bibliothèque, et qui me sont plus précieux que mon duché.
La musique est l'aliment de l'amour.
C'est à l'endroit où l'eau est la plus profonde qu'elle est le plus calme.
Le chagrin, à certaine dose, prouve beaucoup d'affection ; mais à trop forte dose, il prouve toujours quelque faiblesse d'esprit.
Quelle pitié que les fous ne puissent parler avec sagesse des folies que font les sages !
La beauté provoque le larron plus que l'or.
Et le pouvoir terrestre est plus semblable à celui de Dieu quand la clémence adoucit la justice.
Quel est l’auteur au monde qui vous enseignera la beauté aussi bien qu’un regard de femme ?
La politesse est la plus forte des armes.
Shylock : Un Juif n'a-t-il pas des yeux ? Un Juif n'a-t-il pas des mains, des organes, des dimensions, des sens, de l'affection, de la passion ; nourri avec la même nourriture, blessé par les mêmes armes, exposé aux mêmes maladies, soigné de la même façon, dans la chaleur et le froid du même hiver et du même été que les Chrétiens ? Si vous nous piquez, ne saignons-nous pas ? Si vous nous chatouillez, ne rions-nous pas ? Si vous nous empoisonnez, ne mourrons-nous pas ? Et si vous nous bafouez, ne nous vengerons-nous pas ?
Car tout homme naît avec des penchants, que seule peut maîtriser, non la volonté, mais une grâce spéciale.
La naissance, la beauté, la bonne façon, le raisonnement, le courage, l'instruction, la douceur, la jeunesse, la libéralité et autres qualités semblables, ne sont-elles pas comme les épices et le sel, qui assaisonnent un homme ?
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Les lâches meurent mille fois avant de mourir. Le brave ne goûte jamais à la mort qu'une fois. De tous les prodiges que j'aie eu à connaitre, le plus étrange me semble que les hommes aient peur, vu que la mort, cette fin nécessaire, vient quand elle veut.
L'homme qui n'a pas de musique en lui et qui n'est pas ému par le concert des sons harmonieux est propre aux trahisons, aux stratagèmes et aux rapines.