Citations Shakespeare - page 7

Retrouvez des dizaines de citations de William Shakespeare avec des images à copier et à partager.

Combien pauvres sont ceux qui n'ont point de patience.
C'est le métier de tout homme de parler de patience à ceux qui se tordent sous le poids de la souffrance ; mais nul n'a la vertu ni le pouvoir d'être si moral, quand il endure lui-même la pareille.
L'amour n'est qu'une débauche du sang et une concession de la volonté.
Hamlet : Économie, économie, Horatio. Les viandes rôties des funérailles Ont été servies froides au repas du mariage.
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On peut faire beaucoup avec la haine, mais encore plus avec l'amour.
Le roi Henry : Nous ne sommes pas un tyran, mais un roi chrétien ; et notre colère est assujettie à notre mansuétude, tout comme les misérables mis aux fers dans nos prisons.
Etre furieux, c'est être vaillant par excès de peur.
Qui néglige les marques de l'amitié, finit par en perdre le sentiment.
Soyez honnête avec vous-même et les autres, car c'est là que commence la sincérité.
Ils est des gens qui n'embrassent que des ombres ; ceux-là n'ont que l'ombre du bonheur.
Les lâches meurent mille fois avant de mourir. Le brave ne goûte jamais à la mort qu'une fois. De tous les prodiges que j'aie eu à connaitre, le plus étrange me semble que les hommes aient peur, vu que la mort, cette fin nécessaire, vient quand elle veut.
Juliette: [...] Viens, gentille nuit ; viens, chère nuit au front noir, donne-moi mon Roméo, et, quand il sera mort, prends-le et coupe-le en petites étoiles, et il rendra la face du ciel si splendide que tout l'univers sera amoureux de la nuit et refusera son culte à l'aveuglant soleil... Oh ! j'ai acheté un domaine d'amour, mais je n'en ai pas pris possession, et celui qui m'a acquise n'a pas encore joui de moi.
Le chagrin, à certaine dose, prouve beaucoup d'affection ; mais à trop forte dose, il prouve toujours quelque faiblesse d'esprit.
Je crains la nature : elle est trop pleine du lait de la tendresse humaine pour prendre le chemin le plus court.
Shylock : Un Juif n'a-t-il pas des yeux ? Un Juif n'a-t-il pas des mains, des organes, des dimensions, des sens, de l'affection, de la passion ; nourri avec la même nourriture, blessé par les mêmes armes, exposé aux mêmes maladies, soigné de la même façon, dans la chaleur et le froid du même hiver et du même été que les Chrétiens ? Si vous nous piquez, ne saignons-nous pas ? Si vous nous chatouillez, ne rions-nous pas ? Si vous nous empoisonnez, ne mourrons-nous pas ? Et si vous nous bafouez, ne nous vengerons-nous pas ?
Le pouvoir de tout modifier souverainement est dans notre volonté.
Le personnage que nous sommes, c'est un jardin, et notre volonté le cultive.
Et de même, sachant que j'aimais mes livres, sa bonté me pourvut d'un certain nombre de volumes tirés de ma bibliothèque, et qui me sont plus précieux que mon duché.
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C'est à l'endroit où l'eau est la plus profonde qu'elle est le plus calme.
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