Un dicton vietnamien dit: ...

Un dicton vietnamien dit: «Seuls ceux qui ont les cheveux long ont peur, car personne ne peut tirer les cheveux de celui qui en a pas.» Alors, j'essaie le plus possible de n'acquérir que des choses qui ne dépassent pas les limites de mon corps.
 Kim Thúy

Citations liés

Tu vois, c'est marrant, on se donne toutes les bonnes raisons de s'interdire d'aimer, par peur de souffrir, d'être abandonné un jour. Et pourtant, qu'est ce qu'on aime la vie alors qu'on sait qu'elle vous quittera un jour.
La vérité c'est que tu as peur de vivre et c'est pour surmonter cette peur que tu es partie assister les autres. [...] Quel étrange destin que d'ignorer ceux qui t'aiment pour aller donner de l'amour à ceux que tu ne connaîtras pas !
L'homme n'a pouvoir sur rien tant qu'il a peur de la mort. Et celui qui n'a pas peur de la mort possède tout. Si la souffrance n'existait pas, l'homme ne se connaîtrait pas de limites, il ne se connaîtrait pas lui-même.
 Léon Tolstoï
Le délire d'interprétation ne commence qu'où l'homme mal préparé prend peur dans cette forêt d'indices.
 André Breton

Citations du même auteur

J'ai vécu dans la paix pendant que le Vietnam était en feu, et j'ai eu connaissance de la guerre seulement après que le Vietnam eut rangé ses armes. Je crois que la guerre et la paix sont en fait des amies et qu'elles se moquent de nous.
 Kim Thúy
Chaque cadeau que nous offrions était réellement un cadeau car il n'était jamais futile. En fait, chaque cadeau était réellement un cadeau puisqu'il provenait d'abord et avant tout d'un sacrifice et était la réponse à un besoin, à un désir ou à un rêve.
 Kim Thúy
La vie est un combat où la tristesse entraîne la défaite.
 Kim Thúy
La nuit, quand nous partagions le même lit, le bruit des larmes de maman s'échappait parfois du coin de ses paupières fermées. Je retenais alors ma respiration parce que, sans témoin, la tristesse n'existerait peut-être qu'en fantôme.
 Kim Thúy
La nuit, quand nous partagions le même lit, le bruit des larmes de maman s'échappait parfois du coin de ses paupières fermées. Je retenais alors ma respiration parce que, sans témoin, la tristesse n'existerait peut-être qu'en fantôme.
 Kim Thúy