La jeunesse n'ose pas se regarder au miroir de la conscience quand elle verse du côté de l'injustice, tandis que l'âge mûr s'y est vu : là gît toute la différence entre ces deux phases de la vie.
Enfermé entre quatre murs ( au nord, le cristal du non-savoir, paysage à inventer ; au sud, la mémoire sillonnée; à l'est, le miroir ; à l'ouest, la pierre et le chant du silence), j'écrivais des messages sans réponse, détruits à peine signés.
Et il n'avait ni l'âge ni la naïveté ni l'envie de courir se battre sur un terrain choisi par ses adversaires, trois duels prévus en dix minutes, aux Carmes-Deschaux ou au diable vauvert.