La misère ne s'empreint pas seulement sur les vêtements ; elle s'empreint sur la beauté. Cela se mêle au point qu'on pourrait dire que le vêtement devient maigre et le visage pauvre.
Comment tuer la peur, me demandé-je? Comment toucher au fantôme, comment le prendre à sa gorge de fantôme? C'est une entreprise dans laquelle on se précipite en rêve et dont on se félicite d'être sorti comme un chien trempé,les membres frissonnants.