Ton absence est une corde qui ...

Ton absence est une corde qui m'étrangle, vole mon souffle et me brûle la chair aussi fort que je me débats. Parfois je me cramponne à elle pour retrouver mon chemin jusqu'à la surface du monde.
 David Lelait-Helo

Citations liés

Il n'y a pas de vide plus grand que lorsque quelqu'un entre dans votre vie, la chamboule et s'en va.
 Charles Bukowski
La mort n'atteint pas seulement celui qui doit fermer les yeux à jamais mais aussi les autres, tous les autres qui recevront l'horreur et l'absence en partage.
 Marie-Claire Blais
L’amour ne meurt jamais, il se transforme seulement en souvenirs.
 Helen Steiner Rice
Dans l'attente, on souffre tant de l'absence de ce qu'on désire qu'on ne peut supporter une autre présence.
L'esprit humain souffre d'une carence intellectuelle fondamentale : pour qu'il comprenne la valeur d'une chose, il faut le priver de cette chose. L'absence lui parle sa langue maternelle ; la présence, c'est de l'hébreu pour lui.
 Amélie Nothomb

Citations du même auteur

Oui, je suis seule. Seule dans la foule. Voilà la maladie qui me tue. Je n'en peux plus de mon lit froid, de la maison désertée, je ne veux plus de ce silence plus bruyant que le vacarme, de ces heures creuses, de cet horizon bouché.
 David Lelait-Helo
Oui, je suis seule. Seule dans la foule. Voilà la maladie qui me tue. Je n'en peux plus de mon lit froid, de la maison désertée, je ne veux plus de ce silence plus bruyant que le vacarme, de ces heures creuses, de cet horizon bouché.
 David Lelait-Helo
Je ne tombe pas amoureux, je m'élève amoureux. Je t'aime comme on s'élève et grandit, comme on se hausse sur la pointe des pieds pour apercevoir la mer de l'autre côté de la barricade. Je t'aime en liberté.
 David Lelait-Helo
Ton absence est une corde qui m'étrangle, vole mon souffle et me brûle la chair aussi fort que je me débats. Parfois je me cramponne à elle pour retrouver mon chemin jusqu'à la surface du monde.
 David Lelait-Helo
J'ai tout donné au public, j'ai partagé ma vie, l'ai coupée en mille morceaux, en millions de morceaux, pour que chacun ait sa part,si bien qu'il ne m'en est plus resté pour moi.
 David Lelait-Helo