La lecture était ma liberté et mon réconfort, ma consolation, mon stimulant favori : lire pour le pur plaisir de lire, pour ce beau calme qui vous entoure quand vous entendez dans votre tête résonner les mots d'un auteur.
Un jour, nos regard se sont croisés, je m'en souviens bien, c'était très important, nos regards se sont croisés et j'ai senti le mien me passer à travers, comme si je n'avais pas existé. Ç'a été un instant incroyable.
C'est compliqué de demander pardon, c'est un geste délicat, en équilibre entre raideur orgueilleuse et contribution larmoyante et si l'on n'arrive pas à s'ouvrir à l'autre en toute honnêteté, toutes les excuses paraissent fausses et creuses.