Que le ciel existe, même si ...

Que le ciel existe, même si ma place est en enfer.
 Jorge Luis Borges

Citations liés

S'il fallait définir la joie de vivre, le bonheur d'exister, ce serait cet éclat de rire, une apothéose, ma récompense bénie, un beaume descendu du ciel.
 Frédéric Beigbeder
Notre vie est un voyage dans l'hiver et dans la nuit nous cherchons notre passage dans le ciel ou rien ne luit
 Louis-Ferdinand Céline
A mesure que le ciel pâlissait, les chiens s'aventuraient plus loin et je suppose que la chose essentielle quand on aime quelqu'un, c'est que votre amour vous donne une immense envie de continuer à vivre.
 Jim Harrison
Dieu ne nous laisse pas vivre n'importe où, n'importe comment sur terre, sans placer une parcelle du Ciel à porter notre main.
 Nathaniel Hawthorne

Citations du même auteur

Chaque personne qui passe dans notre vie est unique. Elle laisse toujours un peu d'elle-même, et s'en va avec un peu de nous. Certains peuvent prendre plus que d'autres, mais aucun ne peut ne rien laisser. C'est la preuve évidente du fait que deux âmes ne se rencontrent pas par hasard.
 Jorge Luis Borges
L'amitié n'est pas moins mystérieuse que l'amour ou l'une quelconque des facettes de cette chose confuse qu'est la vie. Je me suis dit parfois que seul le bonheur est sans mystère, car il se justifie par lui-même.
 Jorge Luis Borges
Je me rappelle un rêve, il y a quelques nuits de cela. J'avais trouvé un livre anglais du XVIIè siècle et je me disais que c'était épatant d'avoir dégotté cette édition, mais après j'ai pensé que, si j'étais en train de rêver, je n'allais pas le retrouver le lendemain. Alors, me suis-je dit, je vais le mettre en lieu sûr, et je l'ai mis dans le tiroir de la bibliothèque. Comme cela je pourrais le retrouver à mon réveil. SABATO, avec une légère ironie : Un rêve typiquement borgésien.
 Jorge Luis Borges
Ranger une bibliothèque, c'est exercer de façon silencieuse l'art de la critique.
 Jorge Luis Borges
La Bibliothèque est une sphère dont le centre véritable est un hexagone quelconque, et dont la circonférence est inaccessible.
 Jorge Luis Borges