Quand tous les jours sont ainsi semblable les uns aux autres, c'est que les gens ont cessé de s'apercevoir des bonnes choses qui se présentent dans leur vie tant que le soleil traverse le ciel.
Certaines personnes sont brouillées avec quelqu'un, brouillées avec elles-mêmes, brouillées avec la vie. Alors, elles jouent une pièce de théâtre et en écrivent le canevas d'après leurs frustrations.
Le pire, c'était choisir, et passer le restant de sa vie à se demander si l'on a fait le bon choix. Personne n'était capable de choisir sans avoir peur.
Écris : un guerrier de la lumière prête attention au regard d'un enfant, parce que les enfants savent voir le monde sans amertume. Lorsqu'il désire savoir si une personne est digne de confiance, il la regarde avec les yeux d'un enfant.
Les peurs, le manque de confiance en soi, la volonté de ne pas regarder tout ce qui est merveilleux parce que demain tout peut finir, et que l'on souffrira.
La folie, c'est l'incapacité de communiquer ses idées.
Les peurs, le manque de confiance en soi, la volonté de ne pas regarder tout ce qui est merveilleux parce que demain tout peut finir, et que l'on souffrira.
Je voulais voir encore la place de Ljublana, sentir, la haine et l'amour, le désespoir et l'ennui, toutes ces choses simples, dérisoires, qui font partie du quotidien, mais donnent sont goût à la vie.
Ce n'est pas la peine d'expliquer que dans la vengeance, le maximum qui puisse nous arriver est de nous mettre à égalité avec nos ennemis, alors que dans le pardon nous montrons plus de sagesse et d'intelligence.
On nous considérera toujours comme un couple heureux, et personne ne saura ce qu'il y a de solitude, d'amertume, de renoncement derrière cette apparence de bonheur.
A tout être humain ont été concédées deux qualités : le pouvoir et le don. Le pouvoir conduit l'homme à la rencontre de son destin ; le don l'oblige à partager avec les autres ce qu'il y a de meilleur en lui.