Méfie-toi de la clarté de ...

Méfie-toi de la clarté de la lampe : pour juger de la beauté, l'obscurité et le vin sont mauvais conseillers.
 Ovide

Citations liés

La vie est trop courte pour boire du mauvais vin.
Les japonais fabriquent des vélos, Manufrance ferme. Les japonais fabriquent des voiture, Renault va fermer. Si un jour, les japonais fabriquent du camembert et du vin rouge, il faudra fermer la France.
 Coluche
Au riche et au pauvre il fait part égale en dispensant la joie du vin, remède à toute peine. (...) Ce que croit et pratique la foule des modestes je l'accepte pour moi.
Tout notre mal vient de ne pouvoir être seuls : de là le jeu, le luxe, la dissipation, le vin, les femmes, l'ignorance, la médisance, l'envie, l'oubli de soi-même et de Dieu.

Citations du même auteur

Tant que tu seras heureux, tu compteras beaucoup d'amis. Que le ciel s'obscursisse et tu seras tout seul.
 Ovide
Je sens mon cœur inconstant tiraillé entre l'amour et la haine qui se livrent combat ; mais, je le crois, c'est l'amour qui l'emporte. Je haïrai, si je le puis ; sinon, j'aimerai, mais malgré moi. Le taureau non plus n'aime pas le joug ; il ne porte pas moins ce qu'il hait. Je fuis sa perfidie ; pendant que je fuis, sa beauté me rappelle. J'abhorre les défauts de ton âme et j'aime ton corps. Ainsi je ne puis vivre ni sans toi ni avec toi et ne sais pas moi-même ce que je désire.
 Ovide
On trouve un certain charme à répandre des pleurs : En apaisant notre âme, ils calment nos douleurs.
 Ovide
Je sens mon cœur inconstant tiraillé entre l'amour et la haine qui se livrent combat ; mais, je le crois, c'est l'amour qui l'emporte. Je haïrai, si je le puis ; sinon, j'aimerai, mais malgré moi. Le taureau non plus n'aime pas le joug ; il ne porte pas moins ce qu'il hait. Je fuis sa perfidie ; pendant que je fuis, sa beauté me rappelle. J'abhorre les défauts de ton âme et j'aime ton corps. Ainsi je ne puis vivre ni sans toi ni avec toi et ne sais pas moi-même ce que je désire.
 Ovide
Tant que tu seras heureux, tu compteras beaucoup d'amis. Que le ciel s'obscursisse et tu seras tout seul.
 Ovide