Les visages changent, ...

Les visages changent, s'effritent, retournent à la terre; mais d'autres en sortent qui les remplacent. Il n'y a qu'un seul danseur aux masques innombrables, immortel et qui a toujours vingt ans.
 Nikos Kazantzakis

Citations liés

Maintenant que je suis à la fin de ma vie, je laisse à ceux qui viendront après moi ce que j'ai appris en cheminant sur la terre. Qu'ils en fassent bon usage.
Nous devons être les gardiens de cette planète. Nous devons prendre des mesures pour améliorer l'environnement et laisser un monde meilleur à nos enfants.
Suicide et meurtre sont ici deux faces d'un même ordre, celui d'une intelligence malheureuse qui préfère à la souffrance d'une condition limitée la noire exaltation où terre et ciel s'anéantissent.
La terre se couvre d'une nouvelle race d'hommes à la fois instruits et analphabètes,maîtrisant les ordinateurs et ne comprenant plus rien aux âmes,oubliant même ce qu'un tel mot a pu jadis désigner.
La quintessence de notre travail, c'est d'en venir à reconnaître l'existence de Dieu, d'en ressentir La présence, puis de constater, ce faisant, que la " terre entière est remplie de Sa gloire. "
 Yéhouda Ashlag

Citations du même auteur

Que disent les Japonais que tu aimes tant? 'FOUDOSHIN!' Placidité, quiétude, le visage un masque souriant et immobile. Ce qui se passe derrière le masque, ça, c'est notre affaire.
 Nikos Kazantzakis
Tous hommes, animaux, plantes, astres, nous ne faisons qu'un, nous ne sommes qu'une même substance qui mène le même terrible combat. Quel combat? transformer la matière en esprit.
 Nikos Kazantzakis
Les visages changent, s'effritent, retournent à la terre; mais d'autres en sortent qui les remplacent. Il n'y a qu'un seul danseur aux masques innombrables, immortel et qui a toujours vingt ans.
 Nikos Kazantzakis
Si le cœur de l'homme ne déborde pas d'amour ou de colère, rien ne peut se faire en ce monde.
 Nikos Kazantzakis
Les premières étoiles apparurent et restèrent suspendues en l'air, tremblantes, comme des clochettes d'argent. Toute la nuit tinta.
 Nikos Kazantzakis