Si le cœur de l'homme ne ...

Si le cœur de l'homme ne déborde pas d'amour ou de colère, rien ne peut se faire en ce monde.
 Nikos Kazantzakis

Citations liés

La colère est comme un poison : si on ne le traite pas, il finira par s'accumuler et causer des dégâts.
Comme si cette grande colère m'avait purgé du mal, vidé d'espoir, devant cette nuit chargée de signes et d'étoiles, je m'ouvrais pour la première fois à la tendre indifférence du monde. J'ai senti que j'avais été heureux et que je l'étais encore.
L'homme qui, dans un accès de colère, ou entraîné par la passion, fait violence à un autre homme, me semble porter la main sur son frère ; et celui qui ne fait pas tous ses efforts pour arrêter les effets de cet emportement est aussi coupable, selon moi, que s'il abandonnait sa patrie, ses parents ou ses amis en péril.
Un sujet qui peut comprendre sa colère comme faisant partie intégrante de lui-même ne devient pas violent.
 Alice Miller
Ne laissez pas votre colère prendre le contrôle de vos actions. Prenez le temps de réfléchir avant d'agir et utilisez votre raison pour résoudre le problème.

Citations du même auteur

Que disent les Japonais que tu aimes tant? 'FOUDOSHIN!' Placidité, quiétude, le visage un masque souriant et immobile. Ce qui se passe derrière le masque, ça, c'est notre affaire.
 Nikos Kazantzakis
Tous hommes, animaux, plantes, astres, nous ne faisons qu'un, nous ne sommes qu'une même substance qui mène le même terrible combat. Quel combat? transformer la matière en esprit.
 Nikos Kazantzakis
Les visages changent, s'effritent, retournent à la terre; mais d'autres en sortent qui les remplacent. Il n'y a qu'un seul danseur aux masques innombrables, immortel et qui a toujours vingt ans.
 Nikos Kazantzakis
Les premières étoiles apparurent et restèrent suspendues en l'air, tremblantes, comme des clochettes d'argent. Toute la nuit tinta.
 Nikos Kazantzakis
Chaque nation, chaque âge met à la divinité son propre masque, mais au delà de tous les masques, dans tous les âges et chez toutes les nations on trouve toujours la même divinité.
 Nikos Kazantzakis