Le fantôme qui, en chemin, ...

Le fantôme qui, en chemin, s'était avisé de faire corps avec saint Denis, prétendait voir dans chaque rose sa tête coupée.
 André Breton

Citations liés

Le chemin de la vie est difficile et il y a des obstacles à surmonter, mais si tu sais où tu veux aller et tu gardes ton courage, tu peux tout surmonter.
Les deux épreuves les plus difficiles sur le chemin spirituel : la Patience d'attendre le bon moment et le Courage de n'être pas déçus par ce que vous trouvez.
Le chemin est plus important que la destination.
 Proverbe hindou
Le chemin de la vie est parsemé d'obstacles, mais si tu veux vraiment atteindre tes objectifs, tu dois vaincre chacun d'eux et faire ton chemin vers le sommet.
Le chemin n'est pas seulement long, il est large et profond. Il y a des leçons à chaque pas et des épreuves à chaque tour. Mais aussi long et difficile qu'il soit, il nous mène toujours à l'endroit où nous devons être.

Citations du même auteur

Le délire d'interprétation ne commence qu'où l'homme mal préparé prend peur dans cette forêt d'indices.
 André Breton
A distance je ne vois plus clair, c'est comme si une cascade s'interposait entre le théâtre de ma vie et moi qui n'en suis pas le principal acteur. Un bourdonnement chéri m'accompagne, le long duquel les herbes jaunissent et même cassent.
 André Breton
— Tu as raison, me dit-elle, l'ombre ici présente est sortie tantôt à cheval. Les guides étaient faites de mots d'amour, je crois, mais puisque les naseaux du brouillard et les sachets d'azur t'ont conduit à cette porte éternellement battante, entre et caresse-moi tout le long de ces marches semées de pensées.
 André Breton
Lorsque les grands oiseaux prennent leur vol pour toujours, ils partent sans un cri et le ciel strié ne résonne plus de leur appel. Ils passent au dessus des lacs, des marais fertiles ; leurs ailes écartent les nuages trop langoureux. Il ne nous est même plus permis de nous asseoir : immédiatement, des rires s'élèvent et il nous faut crier bien haut tous nos péchés.
 André Breton
La foule allait et venait sur le boulevard sans rien connaître. De temps à autre elle se coupait les ponts, ou bien elle prenait à témoin les grands lieux géométriques de perle. Elle foulait une étendue qui pourrait être évaluée à celle des fraîcheurs autour des fontaines ou encore à ce que couvre d'illusions le manteau de la jeunesse, ce manteau de part en part troué par l'épée du rêve.
 André Breton