La tentation, pour moi, ...

La tentation, pour moi, était irrésistible ; je me faufilais dans les couloirs, je me blottissais dans les loges, j'arrivais toujours à attraper quelques bribes de musique, et je rapportais dans les classes une odeur de Beethoven et de Mozart qui sentait fortement le fagot.
 Camille Saint-Saëns

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La musique de Mozart est si intéressante par elle-même, qu'on s'était habitué à l'admirer pour sa forme et pour son charme, sans penser à autre chose; Gounod sut y voir l'union intime du mot et de la note, la concordance absolue des moindres détails du style avec les nuances les plus délicates du sentiment.
 Camille Saint-Saëns
Aujourd'hui encore, [la censure] tolère à peine, [dans les théâtres], les signes de croix, alors qu'on ne craint pas d'en tirer des effets comiques dans la très catholiques Espagne;
 Camille Saint-Saëns
Commencé à quatre heures, le Crépuscule des Dieux ne se termine qu'à dix heures et tient l'attention du spectateur en éveil jusqu'à la dernière minute. Il est impossible de donner la moindre idée d'une musique pareille : elle ne ressemble à aucune autre. [...] La musique triple l'intensité des sentiments dont les personnages sont animés, c'est tout ce que l'on peut dire à ceux qui ne l'ont pas entendue.
 Camille Saint-Saëns
La musique de Mozart est si intéressante par elle-même, qu'on s'était habitué à l'admirer pour sa forme et pour son charme, sans penser à autre chose; Gounod sut y voir l'union intime du mot et de la note, la concordance absolue des moindres détails du style avec les nuances les plus délicates du sentiment.
 Camille Saint-Saëns
La tentation, pour moi, était irrésistible ; je me faufilais dans les couloirs, je me blottissais dans les loges, j'arrivais toujours à attraper quelques bribes de musique, et je rapportais dans les classes une odeur de Beethoven et de Mozart qui sentait fortement le fagot.
 Camille Saint-Saëns