Commencé à quatre heures, ...

Commencé à quatre heures, le Crépuscule des Dieux ne se termine qu'à dix heures et tient l'attention du spectateur en éveil jusqu'à la dernière minute. Il est impossible de donner la moindre idée d'une musique pareille : elle ne ressemble à aucune autre. [...] La musique triple l'intensité des sentiments dont les personnages sont animés, c'est tout ce que l'on peut dire à ceux qui ne l'ont pas entendue.
 Camille Saint-Saëns

Citations liés

L'attention est la plus grande forme d'amour que l'on puisse donner.
 Thich Nhat Hanh
Écris : un guerrier de la lumière prête attention au regard d'un enfant, parce que les enfants savent voir le monde sans amertume. Lorsqu'il désire savoir si une personne est digne de confiance, il la regarde avec les yeux d'un enfant.
Il suffit parfois d'un petit geste, d'une attention, pour se laisser convaincre d'avoir cet autre qui vous est si semblable.
L'attention est l'art de donner à quelqu'un l'espace dont il a besoin pour être ce qu'il est.
 Henri Nouwen

Citations du même auteur

La musique de Mozart est si intéressante par elle-même, qu'on s'était habitué à l'admirer pour sa forme et pour son charme, sans penser à autre chose; Gounod sut y voir l'union intime du mot et de la note, la concordance absolue des moindres détails du style avec les nuances les plus délicates du sentiment.
 Camille Saint-Saëns
Aujourd'hui encore, [la censure] tolère à peine, [dans les théâtres], les signes de croix, alors qu'on ne craint pas d'en tirer des effets comiques dans la très catholiques Espagne;
 Camille Saint-Saëns
La musique de Mozart est si intéressante par elle-même, qu'on s'était habitué à l'admirer pour sa forme et pour son charme, sans penser à autre chose; Gounod sut y voir l'union intime du mot et de la note, la concordance absolue des moindres détails du style avec les nuances les plus délicates du sentiment.
 Camille Saint-Saëns
La tentation, pour moi, était irrésistible ; je me faufilais dans les couloirs, je me blottissais dans les loges, j'arrivais toujours à attraper quelques bribes de musique, et je rapportais dans les classes une odeur de Beethoven et de Mozart qui sentait fortement le fagot.
 Camille Saint-Saëns
La tentation, pour moi, était irrésistible ; je me faufilais dans les couloirs, je me blottissais dans les loges, j'arrivais toujours à attraper quelques bribes de musique, et je rapportais dans les classes une odeur de Beethoven et de Mozart qui sentait fortement le fagot.
 Camille Saint-Saëns